Les musées du savoir-faire textile en Alsace – Musée de l’impression sur étoffes

Les musées du savoir-faire textile en Alsace – Musée de l’impression sur étoffes

Aujourd’hui, un petit voyage à remonter dans le temps, avec une première étape au musée de l’impression sur étoffes de Mulhouse et ensuite au musée textile du parc de Wesserling, à quelques kilomètres de Mulhouse. L’impression sur textile a vu le jour au XVIIIe siècle à Mulhouse et s’est développée au siècle suivant, faisant de l’Alsace un centre de l’impression textile. A l’heure de la mondialisation et de la production massive « made in China » (or elsewhere) en particulier en ce qui concerne le vêtement (mais pas seulement!), il est vital de se replonger dans ce savoir-faire et ces pièces magnifiques et de qualité, préservés dans ces musées.

Le musée de Mulhouse comprend une bibliothèque textile (S.U.D.) de plus de 6 millions de documents pour les professionnels (stylistes, industriels etc..), malheureusement peu de pièces sont exposées. Si j’ai bien compris, c’est à partir de cette « base de données » qu’est créé chaque année le tissu de Noël de Mulhouse dans le cadre de son marché de Noël, Etofféerie.

Le musée comporte d’une part des salles dédiées aux tissus ou à des collections temporaires et d’autres part des salles sur la technique de l’impression sur étoffes. Au rez de chaussée, la salle 1 est appelée prosaïquement Introduction. Elle contient de larges vitrines avec un ensemble de pièces imprimées, des plus anciennes au plus récentes, pour montrer leur diversité. La salle 2 est consacrée aux Indiennes, avec de grands panneaux absolument splendides mais très faiblement éclairés.

Indienne maquette gouachée sur papier

La salle « Georges Piolat » abrite actuellement, et jusqu’au 1er octobre 2017, la collection temporaire Constellation, « De Lanvin à Azzaro »:

A l’étage, une autre collection temporaire est exposée (également jusqu’au 1er octobre 2017): Forme et couleurs dans les tissus du XVIIIe à nos jours

On en arrive enfin aux salles consacrées à la technique de l’impression sur étoffes. Au rez de chaussée, est présentée la technique du XVIIIe siècle. Les motifs sont tout d’abord dessinés à la gouache sur une maquette puis reportés sur plusieurs planches en bois gravées, autant de planches que de couleurs requises par le motif, ce qui constitue un procédé manuel très lent. Le musée regorge d’une collection impressionnante de ces planches:

A l’étage, la technologie du XIXe siècle nous est dévoilée. Le processus va être simplifié et surtout accéléré par le biais de machines en impression en continu, avec des cylindres en cuivre. La première machine est inventée par Thomas Bell, en France Jean-Louis Lefèvbre en développe une nouvelle version: l’extrémité du tissu à imprimer est placée entre un rouleau de cuivre et un rouleau presseur (recouvert d’un drap sans fin) qui entraine le textile de manière uniforme. Un rouleau fournisseur contient la matière colorante et la transmet au rouleau de cuivre.

Voilà pour un petit aperçu de ce musée, ça fait rêver non? Bon on reste quand même un peu sur sa faim au niveau des pièces textiles, en particulier les Indiennes qui ont fait la renommée de Mulhouse et de la région. La boutique du musée ne permet pas d’avoir de vision d’ensemble des collections, aucun ouvrage technique non plus sur les techniques d’impression des tissus.. Aventure à suivre avec le musée textile de Wesserling..

Bonne soirée

Falbala

Sacs matelassés pour matos de couture – l’anniversaire de Fanfreluche

Sacs matelassés pour matos de couture – l’anniversaire de Fanfreluche

Le sac pour les affaires de couture

Nous arrivons enfin aux sacs pour l’anniversaire de ma Fanfreluche. Ce devait être l’aboutissement de toutes mes expériences accumulée ces derniers mois. Aboutissement chronologique plutôt, on va dire!! Depuis des mois j’y pense, chaque week-end je dessine et redessine des croquis… J’ai changé d’avis sans arrêt, j’avais envisagé du tissu enduit puis je me suis arrêtée sur le matelassage après l’expérience du sac coccinelles (par ici). Le tissu a été trouvé lors de notre virée à Karlsruhe, un très joli tissu fleuri avec des coloris bien soutenus, du bleu myosotis, du rose foncé, un magnifique violet. C’est un coton tissé assez lâche comme le tissu coccinelles. J’ai trouvé un tissu de doublure avec toutes ces couleurs et de la sangle violette à Mondial tissus. Je me suis un peu plantée dans le métrage de la doublure et malheureusement j’ai dû terminer mes projets avec un deuxième tissu de doublure…

 

 

Question patron global, ma Fanfreluche voulait un modèle du style sac à buches, sur la base duquel elle avait également conçu le mien. Je voulais le faire un peu plus petit que le mien. J’adore mon sac mais il est immense donc je le remplis. Résultat des courses il pèse des tonnes!! Au final, je suis restée sur les dimensions suivantes (avalisées par la Prof) 60 cm de largeur pour pouvoir caser les règles de couture, 45 cm de hauteur avec un fond et des côtés de 25 cm. Pour le matelassage, j’ai repris la même technique que pour le sac coccinelles mais j’ai fait des diagonales de 6 cm au lieu de 4 sur les conseils de la Prof qui a plus d’un tour dans son sac.. et j’ai utilisé du fil blanc.

Pour la construction de la doublure j’ai également beaucoup tergiversé puis finalement j’ai décidé de faire simple. Sur un côté j’ai inséré une large poche zippée de 30 cm histoire d’y enfouir tout un tas de petits accessoires de couture. Cette fois-ci j’ai entoilé la zone de pose de la fermeture à glissière et incontestablement c’est mieux même si la pose du zip a quand même été galère..  De l’autre côté, j’ai cousu une large poche plaquée permettant de caser une revue couture et / ou un patron en cours, en haut de la poche j’ai cousu un biais violet de la même couleur que les sangles. Je n’ai pas trouvé de solution satisfaisante en terme de place et d’esthétique pour faire une rangement pour les règles de couture, j’ai donc décidé de faire une trousse à règles qui serait facile à glisser dans le sac. Je n’ai pas fait de poches sur l’extérieur du sac, cela aurait été dommage de cacher le tissu et son matelassage.

Sur les conseils de la Prof, j’ai assemblé sur l’endroit le sac et sa doublure. Ça évite d’avoir à tout retourner et cela permet d’ajuster au mieux la doublure. Le matelassage du sac m’avait fait perdre quelques centimètres. J’avais donc tout remesuré avant de couper la doublure. Il n’empêche qu’elle me paraît un peut grande mais j’ai réussi à la caser dans le sac. La surpiqûre des deux sacs a été screugneugneu en raison des épaisseurs de tissus, du molleton et du décovil.. Malgré le pied magique à double entrainement, mes points sautaient, le fil cassait. J’ai refait des essais sur des chutes en modifiant la tension du pied et celle du fil, et en prenant un autre fil. J’ai enfin pu obtenir des points qui n’avaient plus le hoquet même s’ils ne sont pas parfaits…

La trousse à « mesurous »

La trousse à règles mesure 28 cm de large et 1,80 cm de long (60 cm X 2 pour le corps de la trousse – les règles mesurant 60 cm – et 20 cm pour le rabat (plus 1 cm de marge de couture)). J’ai dû couper la trousse en plusieurs morceaux parce que le tissu fleuri avait un sens (à prendre en compte notamment pour le rabat pour éviter que les fleurs ne se retrouvent à l’envers) et je n’avait de toute façon plus 1,80 m d’un seul tenant. J’ai découpé deux morceaux de 60 cm ainsi que les 20 cm de rabat. Là aussi après matelassage j’ai perdu quelques millimètres… comme quoi on fait toujours les mêmes bêtises!! J’ai cousu au préalable les sangles ainsi que la bande « velcro » pour fermer la trousse. Pour son placement qui laisse un peu à désirer, je verrai avec ma Fanfreluche à l’usage s’il faut reprendre le positionnement et les dimensions.

J’ai coupé la doublure en un seul morceau. Pour l’assemblage je me suis inspirée d’un excellent tuto sur youtube pour faire des pochettes (méthode en fourreau) que j’avais déjà utilisé. Il faut positionner les deux sacs à plat sur toute leur longueur (1,80 m) endroit contre endroit et piquer les deux extrémités de 28 cm de large (en laissant une ouverture sur l’une d’entre elles pour pouvoir tout retourner à la fin).  Ce qu’il faut bien comprendre ensuite au niveau du pliage c’est qu’il faut faire coïncider le rabat sur sa doublure (2 pièces de tissu) et bien épingler, et ensuite replier en deux le reste de doublure que l’on fait reposer sur le reste du tissu extérieur replié également en deux. Cela donne 4 épaisseurs de tissus. Il n’y a plus qu’à piquer tout le long des deux côtés latéraux et une fois retourné tout se met en place comme par magie!! sisi!

Y a pas à dire il lui va bien ce sac à ma Fanfreluche !! J’espère qu’il tiendra le choc et lui permettra de ranger toutes ses affaires:

Et encore joyeux anniversaire!!

Falbala

Sac coccinelles matelassé, édition estivale et prototype

Sac coccinelles matelassé, édition estivale et prototype

J’ai craqué pour ce tissu coccinelles très frais lors d’une virée à Mondial tissus avec ma Fanfreluche, au rayon des tissus pour enfants. J’ai également pris un tissu de doublure parfaitement assorti au niveau des teintes. Nous étions au mois de mai, l’anniversaire de Christine F. approchait et c’était aussi l’occasion de tenter quelque chose de nouveau, de faire une sorte de prototype en prévision du sac pour les affaires de couture, commandé par ma Fanfreluche pour son prochain anniversaire. C’est la raison pour laquelle je ne présente que maintenant ce sac coccinelles avec celui de ma Fanfreluche (l’est ), maintenant que son anniversaire est passé…

J’ai repris le même patron que pour le précédent sac (c’est ici), avec deux nouveautés que je voulais tester: d’une part le décovil dans la doublure et d’autre part matelasser le tissu de dessus. Je n’ai pas trouvé d’explications transcendantes sur les techniques de matelassage et de traçage. J’ai donc improvisé. J’ai tracé un repère à 4 cm aux deux coins de chaque panneau et j’ai tracé une diagonale, puis chaque diagonale espacée de 4 cm. J’ai fait la même chose dans l’autre sens. Je me suis facilitée la vie en utilisant ma règle souple qui fait 4 cm de large. J’ai ensuite largement épinglé le molleton sous le tissu (des épingles dans chaque losange) avant de me lancer dans les piqûres!!

J’ai utilisé un fil vert anis un peu épais et j’ai été assez satisfaite du résultat (saisi ça m’arrive!). Le tissu coccinelles est un tissé assez lâche et le matelassage lui a redonné un peu de fermeté et de gonflant. Après lavage, le matelassage s’est un peu dégonflé mais au bout du compte avec le décovil épais en doublure c’est largement suffisant. J’avais pensé tester d’autres molletons résistants mieux au lavage d’autant que j’avais acheté à Karlsruhe un lot d’échantillon de molletons, mais le temps a passé et différents projets se sont superposés. J’espère avec le temps être en mesure de faire une évaluation de tous ces molletons.

Donc matelassage effectué et réussi en mai. J’ai un peu trainé pour faire la doublure, le décovil me file des boutons rien que d’y penser… Entre-temps, j’ai reçu commande d’un sac pour Denise que tatie Onemei m’a piqué et j’ai refait un sac pour Denise (ils sont par ici). Ces deux sacs m’ont permis de tester (dans la souffrance) le décovil. Un peu mieux rodée mais craignant toujours ce décovil j’ai quand même monté la doublure du sac coccinelles. J’ai fait une poche zippée (avec le tissu coccinelles à l’intérieur) et une poche plaquée divisée en deux. Pour la poche zippée, j’ai regretté de ne pas avoir entoilé le tissu parce qu’à force d’essais et de manipulations, le tissu s’est un peu distendu. Là encore je me suis fait avoir avec le montage des sangles piquée trop haut, ce qui fait que j’ai galéré pour le montage du sac et de la doublure. J’ai bien retenu ma leçon pour le sac de Fanfreluche!!

Pour la pose du décovil, je vous renvoie à mes billets précédents: même s’il est thermocollant, il faut le coudre parce qu’il se décolle très facilement dès qu’on manipule le tissu. Il faut bien reconnaître que le décovil donne une bonne épaisseur au sac mais il reste un peu difficile à gérer en terme d’épaisseur. On le voit au niveau du fond sur la photo de ..  droite …

Et voilà le résultat. Il me reste encore à faire des photos du sac avec sa propriétaire.. ça viendra bientôt!

Bonne journée

Falbala

Lucette en goguette – cache-cœur rose

Lucette en goguette – cache-cœur rose

Ah ! Ah!! non vous ne rêvez pas: c’est du rose!! Ben oui, rose mais camouflage… Il ne faut pas aller trop vite pour changer les habitudes de couleur.. ll n’est pas beau ce superbe jersey camouflage rose?? Je l’ai déniché dans mon magasin de tissus (Stoffhale) près d’Offenbourg. Il y a vraiment beaucoup de choix notamment dans les jerseys. Celui-ci fait partie d’un lot récent, et j’espère vous présenter prochainement la suite de ces tissus..

Après les succès de Maëlle (ici et ), j’ai essayé cette fois le cache-cœur Lucette, patron issu de l’ouvrage de Marie Poisson « Coudre le stretch ». Après une tentative peu concluante de robe cache-cœur (Fashion style) (mise au repos pour le moment), j’ai voulu retenter  l’expérience du cache-cœur, cette fois en top. Il se décline en plusieurs versions et en robe. J’ai choisi la version avec ceinture et basque sans fronce. J’avais vu diverses réalisations sur le Net et il me semblait que ce top moulait un peu mais mon jersey étant relativement épais, je ne voulais pas le transformer en montgolfière… Bien rodée par la Prof qui sait faire des tichirtes, j’ai coupé le top en taille 38 avec 2 cm de marge de couture pour le cas où des retouches seraient nécessaires. Et bien m’en a pris car une fois le cache-cœur bâti, au niveau poitrine c’était top (je n’ai pas de mérite vu mon tour de poitrine!) mais les manches étaient un peu serrées, la taille boudinée et les hanches transformées en bouées de sauvetage.. J’ai rajouté 0,5 cm au niveau des manches et de chaque côté du haut; 0,5 cm en haut de la ceinture et 1,5 cm en bas de la ceinture, et enfin 1,5 cm de chaque côté de la basque. Et là j’ai pu enfin respirer… Vous l’aurez compris ce top taille petit..

Les explications de montage sont très claires, on n’est pas dans du Burda ici!! Il y a deux difficultés: la parementure d’encolure et le montage de la basque. Pour la parementure d’encolure, il était proposé de couper une bande de 4,5 cm (pas dans le droit fil Sarah j’ai bien vérifié!!) ce qui me paraissait très large comme parementure. J’ai fait des tests et je suis restée sur une dimension de 3,5 cm de large d’autant que ce jersey est relativement épais. Il y a des indications de longueurs mais pas de crans, j’ai dû donc un peu improviser pour le montage. J’ai piqué à la machine au point zigzag lâche, replié sur un centimètre et surpiqué à l’aiguille double. Avec le pied double entrainement, l’aiguille double a piqué paisiblement bien à plat, sans faire d’histoire. Je dois dire que je suis assez satisfaite de ce résultat: au niveau finition, c’est très propre. Et cerise sur le gâteau, ça ne baille pas!!

Pour la basque, la difficulté consiste à bien croiser les deux pans, il suffit de suivre les repères, et de bien épingler les deux « couches » sur le devant. Cela fait beaucoup d’épaisseurs à gérer y compris celle de la parementure d’encolure. La surjeteuse a quand même ronchonné sur le devant mais elle a cousu gaillardement!! J’ai choisi de coudre et de surjeter avec des fils taupe, je n’ai pas de cône rose (ça vous étonne??) quelques fils à coudre issus des affaires de ma mère mais rien qui colle au niveau couleur. Et puis il y a assez de rose comme ça pour moi, non??

Voici Lucette portée par ma consœur:

et Lucette portée, merci à Monsieur Falbala pour les photos:

Y a pas à dire, ce cache-cœur fait un beau décolleté, pas trop plongeant! Je pense que je vais partir sur cette base de patron pour refaire ma robe croisée, laissée au repos pour le moment..

 

Bonne soirée

Falbala

Défi « Je couds pour un homme »: Ciel un raglan!

Défi « Je couds pour un homme »: Ciel un raglan!

Ma Fanfreluche vous a déjà présenté sa contribution au défi de Nabel « Je couds pour un homme ». Pour ma part, j’ai récidivé avec un T.shirt mais de forme raglan cette fois. J’adore les raglans mais je ne sais absolument pas si Monsieur Falbala les apprécie.. ce sera la surprise pour tous les deux!! Au niveau couleur, je suis restée sur un bleu très ciel, déniché à Mondial tissus. Malheureusement ce jersey est très mou donc j’appréhendais au niveau couture des ourlets. Pour casser un peu ce ciel, je l’ai combiné avec un autre jersey pour les manches (plus ferme), un imprimé dans les tons de bleus plus soutenus et avec des motifs floraux.. La forme du T.shirt permet d’oublier un peu le côté féminin des fleurs.

Je suis partie du patron du T. shirt de base déjà validé (par ici) et avant mon cours de couture j’avais trouvé des tutos pour transformer des manches en raglan. J’avais aussi apporté le bouquin déjà utilisé « La couture au masculin » de Toshio Kaneko qui contient un modèle raglan.. J’avais déjà noté les explications techniques pour dessiner le raglan mais la Prof qui a un compas dans l’œil a dit voilà on va tracer une courbe comme ci et comme ça (en S)… en trois coups de crayon et voilà!!

A l’essayage, l’encolure devant baillait un peu, probablement dû à la « mollesse » de ce jersey. Monsieur a joué le jeu, je lui ai fait faire l’essayage les yeux fermés. Il a juste ronchonné en disant qu’il l’avait mis à l’envers parce qu’il sentait une couture devant!!! L’encolure a été reprise de chaque côté (sur le devant seulement) pour la resserrer:

J’ai choisi de faire l’encolure avec le jersey imprimé pour le fun et parce que ce tissu était bien plus ferme et plus facile à travailler que le ciel. J’ai un peu galéré avec la bande d’encolure mais au moins elle a été coupée dans le bon sens cette fois!! Malgré mes appréhensions, la couture à la double aiguille pour les ourlets s’est faite sans problème. J’ai peut-être tout simplement trouvé les bons réglages sur ma machine.. J’ai également cousu de la laminette sur la couture d’emmanchure devant du raglan pour éviter que le tissu bleu ciel se détende trop.

Le T.shirt a été fini cet après-midi et a été approuvé par Monsieur qui l’a trouvé très original.. Il a juste dit qu’il allait ressembler à Hulk avec cette coupe.. Et voilà en image:

Et il s’est plié de bonne grâce à la séance photo (le chien a préféré rester dedans cette fois, fait trop chaud pour faire le pitre devant l’appareil photo):

Bon je crois qu’il a adopté son nouveau doudou bleu layette!! Bonne couture à tous et n’oubliez pas d’aller voir les œuvres des autres participantes à ce défi (c’est ici).

Falbala