Pourquoi je couds, pourquoi je blogue..

Pourquoi je couds, pourquoi je blogue..

Ces questions sont ressorties du mouvement lancé par certaines blogueuses couturières, sur l’impulsion de Mars elle, face à la suprématie de l‘instantané, via les réseaux sociaux et notamment Instagram qui se contentent d’aligner des photos, au détriment des sites et blogs de couture qui ont une approche plus en profondeur de la couture. Cette problématique n’est pas nouvelle, j’ai eu l’occasion à plusieurs reprises de lire par le passé des articles de blogueuses qui souhaitaient faire une pause d’Instagram, de se déconnecter. Ne faisant pas partie des réseaux sociaux – par choix – mon approche pourrait apparaître un peu biaisée. Mais cela ne m’empêche pas de répondre aux questions posées : pourquoi je couds, pourquoi je blogue. J’ai choisi de traiter les deux questions ensemble car elles sont intimement liées en ce qui me concerne.

Usine DMC

Usine DMC

Pourquoi je couds ? La raison en est toute simple. Je couds parce que j’adore ça, ben oui on est dans le domaine du loisir non ? Je suis profondément manuelle dans le sens où j’adore fabriquer des choses et les voir se construire au fur et à mesure. En couture c’est la même chose : on construit un vêtement à partir d’une idée, d’une envie, d’un patron qu’on va plus ou moins modifier. J’aime autant broder, tricoter, coudre à la main qu’à la machine.

Coudre me permet de me vider l’esprit de toutes les contraintes du quotidien et du boulot. C’est comme un voyage dans une autre dimension. Je m’enferme dans mon atelier couture, avec ma musique, du thé et je n’en ressors que quand Monsieur crie à tue tête que le repas est prêt.. Oui j’ai la chance d’avoir un jules qui cuisine. Ne vous extasiez pas (trop!), tout le rangement et le nettoyage, sans parler du linge, sont pour ma pomme!!

Au départ, mes projets étaient modestes et limités, centrés sur le linge de maison mais les cours de couture que j’ai suivi ces dernières années ont élargi mes horizons et m’ont donné envie de tenter l’aventure de la couture des vêtements. A l’heure actuelle, j’aime coudre des vêtements qui me correspondent et que je ne vais pas trouver dans toutes les enseignes. Tant qu’à faire, la couture permet d’exprimer toutes ses envies.

Mes envies ne sont pas celles de la nouveauté, du dernier cri en matière de patron indépendant etc.. Bien sûr je ne suis pas complètement fermée à toutes les nouveautés mais ce n’est pas ce qui me fait vibrer. La mode étant un éternel recommencement, j’en prends ce qui me convient et me correspond, et uniquement ça.. J’aime en particulier les couleurs et les motifs. Celles qui me connaissent savent que je suis une kaki-addict et que je deviens une rouge-addict, ou comme dit Fanfreluche: « red, the new green »!! Coudre ses vêtements permet alors un choix et une liberté extraordinaires, de s’affranchir des canons de la mode, des couleurs de la mode..

J’essaie de trouver des patrons qui me tentent et m’inspirent. Et là je dois dire que cela a été presque la quête du Graal. La recherche du patron idéal il y a longtemps que j’ai abandonné, et surtout compris qu’il n’existait pas. Comment voulez-vous qu’un patron s’ajuste parfaitement à tous et à toutes sans tenir compte de nos différences morphologiques, de nos petits défauts?? J’ai cherché dans les différentes revues qui existent, et chez les créateurs indépendants. J’ai rarement trouvé mon bonheur. Il faut pratiquement toujours reprendre sur un patron, en raison de la stature qui n’est pas prise en compte, et de toutes nos spécificités morphologique. Quand on débute en couture on se cramponne à son patron comme si c’était la vérité absolue. L’expérience aidant, on arrive à s’en détacher (relativement), à le bricoler et à l’adapter parce qu’on comprend mieux comment fonctionnent les patrons et les ajustements et retouches à y apporter. Dans ces conditions, la recherche du patron idéal perd tout son sens, reste à trouver tout simplement un modèle qui plait et à se plonger toujours et encore dans les techniques de patronage..

Il y a peu de choses que je n’aime pas coudre. J’aime autant faire des vêtements que du linge de maison ou des accessoires. Je me braque encore sur les zips et les boutonnières et pour l’instant je suis encore réticente à coudre de la lingerie. Nos expériences en la matière ont été peu concluantes et je panique face une couture d’élastique. Toujours peur que ça ma claque au visage!! Mais j’y travaille..

Ce qui me passionne en outre de plus en plus ce sont les grands noms de stylisme (passés et actuels), essayer de comprendre leur démarche et leur vision. Les quelques expositions que j’ai pu voir ont toujours été magiques, dont la dernière en date. C’est aussi toute l’industrie textile sans laquelle nous ne pourrions pas coudre nos modestes (ou pas !) créations. Comprendre comment est fabriqué un tissu, quelles sont les évolutions de cette production textile, pour mieux comprendre notamment toutes les implications écologiques et chimiques. Nos diverses expéditions pour visiter des musées (Cholet) ou des entreprises textiles (DMC) m’ont permis d’avoir un autre regard sur la production textile.

Métier à tisser de Cholet

La compréhension des tissus est fondamentale mais aussi et surtout leur adéquation avec un projet précis. C’est ce qu’il y a de plus difficile en couture. J’en suis encore aux balbutiements à ce niveau et j’ai encore très souvent des doutes..

Pourquoi je blogue ? Dès le début j’ai souhaité avoir un site pour stocker et archiver les photos de ce que j’avais cousu. Stocker également les questions techniques, tutos et autres qui pouvaient resservir. Voir l’évolution. Souvent je fais des recherches dans mes articles pour retrouver des points techniques, des dimensions etc…

Je suis une maniaque de la compilation, avant je faisais des mini-albums photos thématiques sur nos visites, nos vacances, les réunions familiales etc.. Ce n’est ni plus ni moins ce qu’Internet nous permet de faire. Écrire des articles c’est mettre en œuvre de manière dynamique les réflexions sur un projet, ses différentes étapes.

Je suis aussi une maniaque de l’écriture. Je prends des notes en permanence. J’ai un cahier qui me permet de consigner l’évolution de mes projets de couture. Dès le premier café du matin, j’attrape mon cahier et je griffonne sur les projets en cours, les réalisations, les projets futurs, des idées pour la suite.. La rédaction des articles à publier est néanmoins une autre paire de manches et c’est vrai que cela prend du temps, en tout cas pour moi. Plusieurs heures sont en général nécessaires, parfois plusieurs jours notamment sur des articles que j’ai pu écrire à la suite d’expositions ou de visites de musées. Alors quoi de mieux qu’un site ou un blog pour stocker les photos, écrire des articles, faire ces synthèses..

Usine D.M.C.

Usine DMC

Les blogs et sites de couture sont un lieu formidable d’échanges et de partage de l’expérience en couture. Lorsque je suis face à une difficulté je regarde sur Internet si quelqu’un a été confronté au même problème ou si quelqu’un a trouvé des solutions. Ils permettent de voir les réalisations d’un patron qui nous tente, de voir le rendu et surtout d’avoir des avis, positifs et négatifs. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai appris à coudre grâce aux sites de couture. Pour ça, nos cours de couture ont été (et sont encore) extrêmement formateurs. Nous y avons appris les bases, les bons gestes, comment réfléchir face à un patron qui pose problème. Mais les sites apportent néanmoins une aide appréciable surtout dans les grands moments de solitude ou face à un problème nouveau ou inattendu!!

Mercerie Fil amant

Au fil amant

C’est aussi un moyen extraordinaire de rencontrer des gens qui partagent notre passion et avec qui on prend plaisir à échanger comme ici le temps d’une rencontre avec Nabel à Nantes. Et tous ces petits commentaires qui font notre bonheur. Ce n’est pas simplement pour s’entendre dire : Wow ! c’est beau ce que tu as fait.. Ce que j’aime dans les commentaires c’est une dynamique qui permette d’aller plus loin avec des questions portant sur des points particuliers, des questions techniques sur le montage d’un vêtement, sur la nature du tissu, un véritable échange! C’est ce qui fait toute la richesse de nos sites et de nos blogs de couture.

Annabelle

Alors pour 2020 je nous souhaite à toutes (et à tous) de continuer à bloguer et à échanger avec ce monde merveilleux de la couture avec ferveur et passion!!

Nathalie

Un an déjà !

Un an déjà !

Un an déjà que les Serial Piqueuses sévissent sur la toile !  Un an et 100 articles publiés par nos hardies piqueuses !

C’est l’heure de dire mille mercis à nos fidèles lecteurs / lectrices, à notre professeur quiaunepatienceangélique, à nos proches que nous malmenons parfois dans nos articles et à notre infatigable webmaster.

C’est aussi l’heure de faire un bilan de nos réalisations – les plus réussies (si, si, il y en a !), les plus gros ratages (exceptionnellement on va vous les montrer) – et de réfléchir à nos projets, nos objectifs d’apprentissage et nos bonnes résolutions (hum, hum – promesses d’ivrognes ?).

Les succès des Serial piqueuses

Fanfreluche

Parmi les projets réalisés, certains sortent du lot. Soit parce qu’ils ont demandé la mise en oeuvre de nouvelles techniques et d’associations recherchées, soit parce que le tissu m’a particulièrement plu, ou encore parce que je les trouve originaux et seyants. Quelques exemples tirés de mes précédents articles:

Falbala:

L’un de mes objectifs lorsque j’ai commencé les cours de couture, était de parvenir à coudre des modèles féminins dans des tissus camouflage pour les détourner et casser le côté militaire. Je suis assez contente des réalisations qui ont été faites et j’ai encore d’autres tissus camouflages qui attendent de nouveaux projets. Pour ce qui est de mes réalisations en général, je suis assez satisfaite des modèles suivants, en terme de finitions, de rendu et de confort.

Les plantages des Serial piqueuses

Fanfreluche:  Les plantages… hum hum. J’en ai qui ont été rattrapés sur le fil du rasoir. Je vous ai parlé de la jupe rock’n roll, un vrai délit d’inconscience, avec son patron fait maison, sa combinaison de deux matériaux improbables (loden hyper épais et simili cuir) et ses multiples retouches taillées dans le vif (ça s’appelle aussi « du moulage » – je rigole). Avant de connaître la prof aux challenges insurmontables, elle avait fini au rebut au fond d’un placard.

J’ai aussi une petite robe à fleurs basée sur un modèle Burda très – trop – original, que j’ai voulu adapter… un peu. Alors là, je peux vous dire qu’elle a été adaptée, cintrée et recintrée avec des pinces de taille pas symétriques du tout – bref, je la mets à la maison pour traîner car elle a le mérite d’être très légère et de ne serrer nulle part ! Une petite photo ? Allez ! La voici, portée par cette brave Fanfreluche.

Mais la pire de toutes c’est sans doute la robe tirée du patron Macaron de Colette – toujours dans l’esprit je me lance en toute candeur – qui associait un tissu jacquard en acétate et une dentelle élastique (ça paraît grave, dit comme ça, mais c’était plutôt joli en fait). Sa réalisation demandait un niveau de couture que je n’avais absolument pas. Ce projet a été piqué, dépiqué, modifié, repiqué et finalement a été victime d’un gros dégât de surjeteuse par manque total de maîtrise de ma toute nouvelle Babylock. Je ne sais pas trop comment vous la montrer, car elle est en pièces détachées dans un sac poubelle caché au bas de l’armoire, mais comme je l’ai promis, je pense que je vais bricoler à grand renfort d’épingles. Fanfreluche est volontaire.

Falbala: Mon plus gros regret est la jupe plissée, surnommée affectueusement « la jupe aux mille plis » tant j’ai dû découdre et recoudre un nombre incalculable de plis. Le rendu final me parait trop improvisé, surtout au niveau de la ceinture. Avec le patron de la jupe de base qui fonctionne bien, j’espère essayer de la rattraper (je n’ai malheureusement plus de tissu donc faut faire avec ce qui est déjà coupé) ou à défaut en refaire une (j’ai racheté un autre tissu mais il n’est pas aussi beau!). Elle est dans la boîte « à reprendre ».

D’autres robes ou jupes aux allures de montgolfière ont fini directement à la poubelle ou dans la boîte « recyclage », les modèles ne valaient pas la peine de s’échiner à tout reprendre (notamment des patrons Burda mais pas que..). Avec le temps on finira par détecter plus souvent ce genre de patron et à les fuir…

Le patron de la robe de base n’a pas été une réussite pour moi, en terme de confort. J’aimerais l’améliorer, notamment à la lumière du travail sur le corsage et la jupe de base.

Les ambitions des Serial piqueuses

Fanfreluche

Mon ambition est d’apprendre à dessiner mes propres patrons et, en tout cas, pour commencer, de comprendre de quelle façon modifier un patron de base pour réaliser un projet défini, créer une silhouette aperçue en ville ou dans un magazine.

Un autre défi est celui de gérer des tissus fluides et glissants, comme certains polyesters et bien sûr, de la soie. La prof quiconnaîtlahautecouture appelle cela « le flou ».  Avant de m’attaquer au projet de robe pour Martine, tout cela était virtuel. Mais la réalité est incroyablement complexe.

Et j’ai mes « bêtes noires », les points techniques que je voudrais maîtriser, mais qui, pour l’instant, me résistent férocement (l’encolure en V par exemple) ou qui m’effraient méchamment (par exemple la braguette de pantalon).

Mes futurs projets : ils sont nombreux, bien sûr, mais les plus immédiats sont:

  • une jupe droite en wax avec des plis en diagonale  (c’est un modèle du magazine Styles) – j’ai le wax depuis l’année dernière et il attendait le projet adéquat;
  • une jupe crayon en lin violet (dont je vous ai parlé il y a peu) – ce sera une jupe à trois pans devant et peut-être une découpe avec des boutons (façon pantalon à pont);
  • un haut assorti à la jupe en wax (je viens d’acheter le tissu rayé au magasin Tissu Calicotis à Nevers);
  • un – ou deux – futurs blousons zippés en sweat (ouh là là ça va gondoler);
  • enfin, une ou deux petites choses pour la Pitchoune.

Pour finir, j’adorerais commencer à m’attaquer à la réalisation de vestes, type Chanel ou blazer. Les tissus adéquats attendent depuis belle lurette dans les boîtes de rangement.

Bon. Il y a de quoi m’occuper pendant quelques mois, vous ne croyez pas?

Falbala:

Mon ambition est d’acquérir les bonnes méthodes et les bons gestes pour parfaire les finitions et ainsi faire face à des patrons plus sophistiqués. Mon adage: l’envers doit être aussi beau (ou presque) que l’endroit!! Donc travailler les encolures, les emmanchures et les satanées manches. A terme, c’est également de mieux comprendre comment modifier correctement un patron (sans en faire une nappe alsacienne par exemple!)…

Travailler différents types de tissu est aussi au programme, notamment des tissus avec élasthanne, le jersey. J’ai des jolis coupons en attente d’un peu plus d’audace de ma part.

Ma « wish list » est de tester différents patrons indépendants, d’élargir notre horizon, et de réaliser en particulier les patrons suivants:

  • de chez Eglantine et Zoe, j’ai commandé la blouse Vagabonde et la blouse Toupie et je suis impatiente de les tester;
  • j’ai également commandé de chez Dessine moi un patron, la blouse Violette;
  • de chez Anne Kerdilès, la blouse Cézembre est aussi prévue;
  • j’ai en attente de tissu adéquat, de chez Tilly and the buttons les patrons de la robe Coco ainsi que de la robe Françoise (merci à ma Fanfreluche et à mes cops pour ces jolis cadeaux);
  • et aussi une veste façon basque (n° 121 du Burda style d’août 2016 (oui c’est la dernière fois que je m’attaque à un patron de Burda.. promis, voir photo ci-dessous);
  • et encore cette robe zippée de Fait main (juin 2016, voir photo);
  • encore une robe façon Courèges qui m’a tapé dans l’œil il y a un moment (oui je sais c’est encore du Burda, mais c’est la der des der.. voir photo);
  • trouver un joli patron de gilet, façon gilet pour homme;
  • me lancer enfin dans les patrons pour homme. J’ai une vieille chemise de mon homme qui attend d’être décortiquée en vue d’un patron idéal, sans oublier un projet de cravate…

Les bonnes résolutions des Serial piqueuses

Fanfreluche: Au risque de plagier Falbala, pour moi aussi le but c’est de diminuer le stock. Mais parfois je scotche complètement, soit par manque d’idées, soit par peur de gâcher un beau tissu. Alors le tissu reste là et les projets se bousculent dans ma tête sans jamais aboutir. Faudrait que je me fasse soigner, je crois.

Ma deuxième résolution c’est de mieux organiser mon atelier couture, voire de l’embellir. Il faut vraiment que je m’attelle à mieux classer mes patrons afin que je les retrouve plus facilement, à trier mes tissus et à les ranger par catégories pour avoir une meilleure visibilité de ce que j’ai en stock, enfin, trouver un moyen de mieux organiser mes magazines de couture (peut-être créer une sorte de base de données pour que je me souvienne dans quel magazine j’ai vu quel modèle)… Vous avez des idées?

Falbala: La résolution n° 1 est bien entendu d’écouler le stock de tissus accumulés. J’y travaille un peu plus activement depuis cet été.. Mais tout ça aussi pour en acheter plus.. Ben si, sinon où est le fun dans tout ça!!! Y a quand même en perspective cet automne le marché des Hollandais et Sainte Marie aux Mines…

Résolution n° 2 avoir davantage recours à des éléments décoratifs, biais, passepoil, zip décoratif… Après la razzia de galons brodés sur un stand indien de la foire européenne de Strasbourg, y a intérêt à les utiliser… faut juste trouver les bonnes associations.

Epilogue

Ce fut donc une année riche d’enseignements et nous avons pris plaisir autant à nous embarquer dans tous ces projets – des plus simples aux plus fantasques – qu’à les partager sur ce joli site. Cette année se finit par une petite consécration: la prof à sesheuresperdues va exposer les « œuvres » de ses élèves la semaine prochaine à la foire européenne de Strasbourg et nos fidèles Falbala et Fanfreluche vont enfin connaître leur heure de gloire en se pavanant au milieu de toutes ces créations.. allez un petit reportage photo s’imposera. Bon, c’est pas tout mais on a des devoirs couture encore à terminer ce soir. Ben oui, il faut bien que le duo des Serial piqueuses en fasse toujours plus pour essayer de vous épater durant cette nouvelle année..

Fanfreluche et Falbala

Les crèches de Noël

Les crèches de Noël

L’époque de Noël permet de sortir les jolies nappes de Noël mais aussi toutes les décorations festives. La crèche de Noël est un élément incontournable. C’est ma chère Onemei qui m’a réconcilié avec les décos de Noël et maintenant je ne manque pas une occasion d’acquérir des crèches des quatre coins du monde. Ma collection reste néanmoins très modeste par rapport à la sienne..

Cette belle histoire d’amour a commencé avec les santons de Provence. A l’occasion d’une visite familiale dans le sud de la France, j’ai fait l’acquisition de certains santons, avec un penchant très marqué pour les rois mages, mais ils sont si beaux, sisi.. Face aux nombreuses protestations j’ai fini par acheter également Marie et Joseph sans oublier le petit Jésus…

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Et puis sur le marché de Noël de Strasbourg, je suis tombée en admiration devant un stand malgache de crèches.. du coup chaque année, j’en achète une chez eux. Elles sont en bois de palissandre ou de rose.. La bonne nouvelle est qu’ils ouvriront très prochainement un site Internet.

et puis les différentes crèches du monde, du Pérou, de Haiti etc..

et voilà tout le monde est réuni sous un même toît

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Et les dernières acquisitions malgaches 2015:

sans parler des nouveaux petits anges en verre

et les jolie boules de noël en verre offertes par Onemei:

Falbala

JOUR 1

JOUR 1

Jour1

C’est notre premier jour sur la toile !  Merci à toutes les personnes qui nous ont chaleureusement soutenues et nous ont apporté une aide précieuse, à commencer par notre webmaster, Fabrice Braun. Fabrice a su se plier de bonne grâce à tous nos caprices de couleur et de mise en page et nous a concocté un site méga pro. Espérons que nous saurons nous montrer à la hauteur de son talent pour faire de ce site un lieu de rencontre fourmillant d’idées, de projets et de réalisations !

Nous n’oublions pas nos collègues et proches qui se sont prêtés au jeu de trouver un nom à notre site. Les idées les plus farfelues, fantasques et fun ont été lancées, mais il a fallu faire un choix et tenir compte de plusieurs paramètres… Aujourd’hui nous nous présentons comme les serial piqueuses parce que nous sommes accro à nos aiguilles (à coudre, à tricoter etc..) et ça pique à tout va dès que nous avons un moment de libre ou des devoirs à faire ! Nous avons chacune nos secteurs de prédilection et une passion commune pour les travaux d’aiguilles.

Nous essaierons le plus régulièrement possible de vous faire part de nos projets et réalisations, de partager nos trucs et astuces, ou de nous épancher sur nos plans « screugneugneu » ; bref, de partager les aventures de Falbala et Fanfreluche.