Ce n’est pas tous les jours que je visite un château qui tient encore debout, et baroque de surcroît! Mon truc à moi ce sont les vieilles forteresses médiévales, les techniques de fortification si possible avant l’ère de l’artillerie, en bref les ruines et les tas de cailloux comme dit mon jules… Mais ce château n’était qu’un prétexte pour visiter son musée des automates de musique. Et la musique, c’est le truc de mon jules!! Entre deux photos et videos, j’ai réussi à obtenir quelques photos de ma nouvelle robe raglan.
Robe raglan Fashion Style
Dans les revues Fashion style, il y a souvent de jolis modèles mais jusqu’à présent leur patronage a toujours nécessité beaucoup de retouches et peu de résultats concluants. Dans la revue n° 16 de juillet 2017, j’ai quand même craqué pour cette petite robe raglan à jupe trapèze, avec un corsage à effet de « twist » (modèle n° 7). Cette robe se décline également en robe à bretelles sans les manches raglan.
Il faut savoir au préalable que les patrons Fashion style ne correspondent pas aux tailles françaises, mais uniquement sur les planches patrons. Il faut prendre une taille au dessus pour retomber sur les tailles françaises. Leurs patrons vont du 36 au 56 mais il y a une gradation supplémentaire en 34 sur la planche patron, qui correspond à la taille 36. Vous suivez?? Après mesure des pièces, je suis restée sur le 36 (pour une taille 38 française). Par précaution, j’ai rajouté 2 cm de marge de couture qui m’ont bien été utile!
Modifications du patron
Modifications préalables
Je n’aimais pas la couture milieu dos et devant de la partie jupe. Je suis donc restée sur le droit fil au pli et j’ai basculé sur les côtés la partie élargie des milieux devant et dos de jupe initiaux. J’ai également rallongé la manche.
Modifications en cours de montage
La partie corsage a également été modifiée en cours de montage parce que les explications étaient pour le moins confuses. La partie corsage est en deux pièces, chacune avec une doublure à même. Un côté est ensuite tourné deux fois et chaque partie du corsage est cousue avec la demi-jupe correspondante. Du fait que j’avais supprimé les coutures milieu des jupes, Marie m’a suggéré de faire des fronces sur le milieu du corsage. J’ai coupé un morceau de laminette plus court que la longueur totale et je l’ai cousu en le tirant. Le résultat est magique, cela fait de belles fronces régulières.
A l’essayage, la partie jupe était beaucoup trop serrée et le corsage trop grand avec des épaules trop hautes. La stature de ces patrons est de 1,72 m ce qui ne correspond absolument pas à mon 1,60 m. Je ne m’en étais pas trop préoccupée vu que le corsage s’arrête sous la poitrine. Une pince a donc été rajoutée sur la partie raglan de la manche pour remonter l’épaule. J’ai décalé de 2 cm, sur la partie corsage uniquement, la couture de la manche. Pour la jupe j’ai cousu à 0,5 cm jusqu’aux hanches pour retomber progressivement sur mes 2 cm de marge de couture. Cela va nettement mieux même si la robe manque un peu d’aisance sur le bidon..
Le devant est fermé proprement du fait de la doublure à même. Il faut « juste » rajouter une parementure pour le dos et le raglan. La revue donne les dimensions d’une bande à cette fin. Au vu de mes multiples modifications, j’ai décalqué directement sur le corsage une parementure dos et les deux parementures raglan. Le rajout de la parementure est délicat vu que le devant est déjà fini, il faut raccorder pile poil. J’ai dû un peu tricher à la main mais dans l’ensemble cela ne se voit pas. Le tissu comme toujours vient de la mercerie du Fil amant.
Le château de Bruchsal
C’est dans le château résidence épiscopal de Bruchsal que j’ai inauguré cette robe. Il se situe près de Karlsruhe, dans le Bade-Württenberg. C’est un immense site qui comprend plusieurs musées dont un consacré aux automates de musique.
Même si ce château ne peut être considéré comme « authentique » vu qu’il a été détruit pendant la deuxième guerre mondiale et reconstruit à l’identique par la suite, je dois dire que j’ai été impressionnée par la richesse des décors, des peintures murales et des plafonds. Heureusement, tous les objets d’art et meubles avaient été évacués avant la destruction du château. Ils ont réintégré les salles reconstruites.
Une collection magnifique de tapisseries d’Aubusson est exposée dans le château:
Le musée des automates à musique
L’objet de cette visite était principalement le musée des automates à musique où ma petite robe a pu se pavaner. Il s’étale sur trois étages et comprend plus de 500 pièces. Les membres du personnel du musée sont absolument charmants. Ils vous expliquent le mode de fonctionnement ou l’histoire des différentes pièces exposées et ils font même des démonstrations en mettant en route certaines machines.
Tout est parti de l’industrie horlogère, avec des horloges comprenant des personnages animés et des systèmes de cloches, fonctionnant avec des ressorts et contrepoids. L’électricité a permis de développer des machines plus grandes, plus sophistiquées, avec plus de sons et d’instruments. Certaines machines comprennent plusieurs pistes musicales et plusieurs instruments de musique. L’aspect technique de ces machines relève pratiquement de la programmation informatique, soit avec des rouleaux de papiers perforés, des cylindres métalliques parsemés de clous ou des disques métalliques, ancêtres de nos vinyles.
Ce modèle de 1903 comporte des orgues, grosse caisse, petit tambour et cymbales. Cette machine était destinée aux fêtes foraines. Ses dimensions sont conséquentes: 2,88 m de hauteur, 3,85 m de largeur et une profondeur de 1,53 m.
Un autre modèle du genre, richement décoré:
Ici, il s’agit d’un modèle de 1930, avec deux personnages. Il fonctionne avec des rouleaux de papier perforé et joue du jazz. Ils sont chou ces deux lascars qui ont accepté de prendre la pose avec moi!!
Voici l’une des pièces maîtresses du musée qui a été retrouvé, perdu dans les caves du Deutsches museum de Munich (musée des sciences et des techniques). Il a été donné au musée de Bruchsal qui l’a entièrement rénové. Il se compose d’un piano et chose plus rare de trois violons. Les partitions sont sur six rouleaux cylindriques. Un archet circulaire tourne et vient frotter les violons.
Ces automates revêtent diverses formes, des horloges, des meubles, des coffres, de simples personnages, des constructions orchestrales baroques, militaires. On y trouve également les premiers juke box.
Orgue pour les fêtes foraines 15 figurines animées, orchestre militaire 1912
Horloge 1822, huit mélodies, 52 figurines sur deux scènes
Flûtiste et oiseau Franz Oehrlein, moteur électrique, dix mélodies, 26 sifflets en deux registres. 1,68 m de haut
Ernest le peintre, remontoir à ressort , cylindre métallique à goupilles, deux mélodies 88 cm de haut
Juke box
Juke box
USA 1940, juke box
24 titres, 1,46 m de haut
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Si vous avez envie d’écouter quelques-uns des belles machines, attention au son, ça pète bien!
Je voudrais vous parler aujourd’hui de ma tunique folklorique qui, après un temps de doute, s’est finalement avérée un de mes nouveaux vêtements préférés.
Escapade normande et genèse du projet
Cette tunique folklorique n’aurait sûrement jamais vu le jour si Monsieur ne m’avait invitée à me joindre à lui pour un congrès qui avait lieu dans la belle ville de Rouen. Et pendant que Monsieur siégeait, j’ai pu profiter de nombreuses heures de liberté pour sillonner les rues de la capitale normande.
Voici quelques photos de notre escapade qui nous a d’abord menés à Amiens, puis en baie de Somme et enfin à Rouen.
Cathédrale Notre-Dame d’AmiensCathédrale Notre-Dame d’AmiensAmiens – Quartier Saint-LeuQuartier Saint-LeuQuartier Saint-LeuAmiens – Hortillonnages Hortillonnages Hortillonnages Hortillonnages Panorama de la Baie de SommePanorama de la Baie de Somme
Et enfin, quelques photos de Rouen.
Rouen – le Gros Horlogele Gros HorlogeCathédrale Notre-Dame de RouenCathédrale Notre-Dame de RouenCathédrale Notre-Dame de RouenRouen – Eglise Sainte Jeanne d’ArcEglise Sainte Jeanne d’Arc
Mes tribulations m’ont notamment menée jusqu’à la porte de Toto Tissus où j’ai passé un sacré moment à fouiner. Alors, vous serez peut-être d’accord pour dire que chez Toto, la qualité et le choix peuvent considérablement varier selon les périodes. Il faut y aller l’esprit ouvert. Dans mon coin, il m’est arrivé de tomber sur des pépites, alors que d’autres fois j’ai beau y retourner, rien n’accroche mon regard.
Bref, à Rouen, comme j’avais tout mon temps, j’ai déterré dans le panier à coupons 4 ou 5 coupons de la même popeline très typée. La chance m’a souri puisque l’un des coupons mesurait 80 cm de long, alors que les autres étaient bien plus petits (50 cm). Je me disais que je parviendrais bien à en faire un top ou une blouse en jonglant avec les différents morceaux.
Tunique folklorique – la réflexion
Une fois mon achat réalisé – j’ai acheté plusieurs autres coupons dont je vous parlerai lorsqu’ils auront été transformés – j’ai commencé à cogiter. Que faire de ce tissu si coloré ? Est-ce que j’aurai l’air d’un clown ? Quelle forme de haut serait adaptée ?
J’ai fini par comprendre que ces grands motifs verticaux me faisaient penser aux blouses folkloriques slaves. J’ai d’ailleurs collecté quelques idées dans un tableau Pinterest (que vous pouvez voir ici si cela vous intéresse).
Il ne me manquait plus que le patron adapté pour concrétiser ce projet et finalement j’ai trouvé mon bonheur dans le magazine Burda de juin 2018.
La réalisation de la tunique folklorique
Le modèle choisi me plaisait tout à fait par sa forme, avec ses entredeux en guipure blanche, ses manches à volants et son encolure froncée. En revanche, je n’aimais pas du tout l’empiècement à œillets et laçage.
Modification de l’encolure
Aussi, pour commencer, j’ai tracé une nouvelle parementure d’encolure pour créer une ouverture triangulaire sans laçage. Comme sur le modèle d’origine, j’ai prévu une parementure/empiècement visible sur l’endroit du devant. J’ai coupé cette parementure, ainsi que le biais de finition de l’encolure, dans les chutes de la popeline blanche de mon chemisier Burda hacké.
Les raccords
La deuxième difficulté à surmonter fut la réalisation de raccords les plus propres possible. En effet, vous aurez pu constater sur le dessin technique de la tunique que le devant et le dos comportent des découpes princesse. Or, avec mes grands motifs ethniques, il était essentiel de respecter les raccords. C’est là que j’ai été particulièrement contente d’avoir acheté plein de petits coupons du même tissu. Clairement, ce projet n’entre pas dans la catégorie du zéro déchet, car il a fallu tailler les pièces dans plusieurs coupons pour retomber sur le même dessin.
En définitive les raccords ne sont pas parfaits partout, mais je trouve que ça peut passer.
Les manches
Les manches sont coupées en trois pièces distinctes. Tout d’abord la manche du haut, c’est-à-dire la tête de manche qui se prolonge presque jusqu’au coude, puis la pièce du milieu qui accueille l’entredeux en guipure et, pour finir, le volant qui termine la manche.
Pour orner la partie centrale de la manche, j’ai choisi une jolie guipure blanc cassé chez Marie (Mercerie Le Fil Amant), que j’ai appliquée sur une bande de popeline blanche qui constitue la partie centrale de la manche. Puis, j’ai découpé tout le long de l’entredeux sur l’envers de la bande. Cela donne un bel effet de jour. Ensuite, j’ai cousu le bord supérieur de la partie centrale sur le bord inférieur du haut de la manche. Pour finir, j’ai froncé le volant et je l’ai fixé le long du bord inférieur de la partie centrale (hum… pas sûre que ce soit bien clair).
J’ai fait un roulotté avec ma surjeteuse pour faire la finition du volant.
le repassage laisse à désirer, je l’avoue…gros plan sur l’entredeux vintage
Tunique folklorique – dernières touches
Il me restait à passer deux fils de fronces tout autour de l’encolure pour adapter sa dimension à la longueur du biais qui devait assurer la finition du haut de la tunique. J’en ai profité pour insérer un cordon en coton blanc que j’ai orné d’une boule en bois brut.
Enfin, après essayage, il m’a semblé que ce serait plus joli de faire un rappel de la popeline blanche au bas de la tunique. J’ai donc appliqué une bande tout autour du vêtement, ce qui m’a également permis de le rallonger un peu.
Et voilà, j’ai passé pas mal de temps sur ce projet, mais j’aime beaucoup le résultat. Il me reste à présent à trouver avec quoi l’accorder. Probablement que je coudrai un pantalon dans un de mes autres coupons de Toto Tissu. Mais ce sera une autre histoire…
Avec l’Avent, ce week-end de multiples expositions de crèches ont enfin ouvert leur porte en Alsace. Aujourd’hui, je vous en présente deux, différentes dans leur genre.
Cathédrale de Strasbourg et ses deux crèches
Tout d’abord, comme chaque année, la cathédrale de Strasbourg a mis en place sa grande crèche classique d’une vingtaine de mètres de long. J’avais été la voir il y a quelques années, mais c’est avec plaisir que je l’ai redécouverte avec Fanfreluche. Elle a été achetée au début du XXe siècle en Bavière.
Cette crèche ne se limite pas à la Nativité. Elle nous présente cinq scènes évangéliques (allez un peu de révisions y compris pour moi!!). L’Annonciation avec l’ange Gabriel qui annonce à Marie qu’elle portera l’enfant de Dieu.
L’Annonciation
La Visitation: Marie rend visite à sa cousine Elisabeth qui elle aussi est enceinte de Jean-Baptiste. On voit ainsi Marie enceinte
La Visitation
La Nativité, à noter que l’enfant Jésus n’est pas encore installé dans la crèche!!! Et Marie porte la couleur bleue.
La Nativité
L’Adoration des Mages, les rois mages sont représentés accompagnés de ce splendide éléphant et dromadaire. Et là on peut voir l’enfant Jésus dans les bras de sa mère..
L’Adoration des Mages
L’Adoration des Mages
L’Adoration des Mages
La Présentation de l’enfant Jésus au Temple, quelques jours après sa naissance.
La Présentation au temple
Outre cette crèche, la cathédrale de Strasbourg expose également des figurines baroques d’une crèche napolitaine du XVIIIe siècle. Ce trésor a été retrouvé et restauré en 2015. Ces figurines sont en terre cuite, bois et cire. Elles sont revêtues de costumes flamboyants en tissus. Et là une Marie en rose, et un joli nouveau-né.
Crèche napolitaine
Crèche napolitaine
Les Rois Mages et autres personnages. Les costumes sont absolument magnifiques..
Crèche napolitaine
Église St Paul-et-Pierre d’Obernai: Exposition de crèches africaines
Chaque année, la ville d’Obernai accueille une exposition des crèches du monde. Avant la pandémie, j’avais été la voir mais il y avait un monde fou et mes photos n’étaient pas terribles car faites en vitesse avec peu de lumière. Cette année, l’exposition se limite aux crèches africaines. Question fréquentation c’était royal, très peu de monde..
Cette exposition présente les pièces de la collection de l’Association de Bethléem de Muzerai, dans la Meuse. J’ai lu quelque part qu’une trentaine de crèches d’autres continents étaient cette fois réparties dans les différentes boutiques de la ville. Je n’en ai vu qu’une. Le musée de l’Association expose tous les deux ans ses crèches. L’année prochaine, le thème sera les crèches provençales.
Un village entier du Congo est représenté:
Une des plus jolies est une crèche du Sénégal, de par la gaieté des personnages et l’explosion de couleurs. Les personnages sont en tissus.
Crèche du Sénégal
Les crèches exposées sont du Sénégal, Burkina Faso, Niger, Congo, Madagascar, Tunisie… Je ne peux malheureusement en dire plus en l’absence d’explications ou de notices sur les pièces. C’est bien dommage..
Crèche de Madagascar
Crèche du Congo
Intérieur crèche du Sénégal
Voilà j’espère que ce petit voyage dans le temps et autour du monde vous aura plu autant qu’à moi. Et peut-être à bientôt pour de nouvelles aventures sur le sentier des crèches.
Novembre est toujours le tournant, l’amorce de l’hiver, avec sa météo moche, froide et humide. Mais il a au moins une bonne chose, il nous ramène la saison des crèches, l’avent et les festivités de Noël. L’année dernière était pour tout le moins une année sans espoir, sans bonheur, et bien entendu sans crèche.. Cette année, j’ai décidé de rattraper le temps perdu et même de mettre les bouchées doubles en partant à la découverte du sentier des crèches d’Alsace.
C’est un très beau programme qui commence bientôt mais dans l’intervalle, je voulais visiter une maison-musée des crèches en Forêt noire dont la tatie Onemei m’avais parlé depuis longtemps. Malheureusement, cela s’est avéré plus compliqué que prévu. La magie du net m’a quand même mis sur les pas de ce superbe musée des crèches en Forêt Noire, à Spaichingen.
Il est situé au sein d’une mission religieuse de l’ordre catholique des Clarétains. En août 2004, un particulier, Karl Gangen, a fait don de sa collection de crèches à la mission, à la seule condition qu’elle l’héberge de manière permanente et qu’elle la rende accessible au public.
Depuis lors, la collection s’est agrandie avec d’autres acquisitions, financées par des dons. La collection d’une cinquantaine de pièces, de toutes les tailles, nous fait voyager dans le temps, sur quatre siècles, et plusieurs continents.
Les crèches exposées proviennent de la région de Naples et de Sicile, du Tyrol, d’Amérique du sud et d’Afrique. Suivant les cultures, la couleur est plus ou moins présente ou intense. Sur les crèches européennes, j’ai été surprise de voir que Marie n’est pas toujours revêtue de bleue, mais de rouge.
Crèche italienne
Bien sûr mes préférences vont aux crèches africaines finement ciselées, épurées et esthétiques..
Les crèches exposées sont faites en différents matériaux, en bois, en cire, en porcelaine, en tissu, mais J’ai aussi découvert la tradition très ancienne des crèches en papier. On les retrouve en Autriche et en Italie dès le XVIIe siècle.
Crèche en tissu brodé
Crèche en papier
Crèche en papier
Crèche espagnole en porcelaine
Je me suis fait traiter d' »hérétique » (par une autre athée bien sûr) parce que je mettais tout de suite l’enfant Jésus dans la crèche. Or il est vrai qu’il ne devrait apparaître que le 24 au soir. Du coup, j’ai planqué un certain nombre de Jésus que je n’ai plus retrouvé… Quoi qu’il en soit une crèche n’est complète qu’avec tous ses protagonistes.. Ici le musée nous montre un certain nombre d’enfants Jésus, précieux et insolites, dont cette grande figurine espagnole, dite Jésus de Prague, datant du 16e siècle et offerte en cadeau de mariage.
La part belle est aussi faite aux crèches miniatures du monde.
Merci à monsieur de m’avoir emmené dans ce lieu magique, même si c’était un peu du style marathon, et merci à Fanfreluche d’avoir fait la traductrice des petites notices uniquement en Teuton!! J’espère que ce large panorama de crèches vous aura plus autant qu’il m’a émerveillé. Je vais tâcher de poursuivre ce périple et de voir encore de belles réalisations. Le moment est enfin venu de sortir nos crèches, alors profitons de ces instants magiques…
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