La robe geisha ou robe de base à la vietnamienne

La robe geisha ou robe de base à la vietnamienne

Un peu de confusion culturelle dans le titre de cet article, me direz-vous. Cela s’explique par le fait que nous ne sommes pas tout à fait d’accord sur la connotation ethnique à donner à cette robe. Pour ma part, je trouve qu’elle a un petit côté de robe geisha, ne serait-ce que par la fluidité et les motifs du tissu, alors que Monsieur Fanfreluche, en revanche, y reconnaît la robe de l’une des jolies poupées que nous avons rapportées de nos tribulations vietnamiennes.

Qu’en pensez-vous ? Geisha ou vietnamienne ?

Le projet

Quoi qu’il en soit, le patron à l’état brut est tout simplement celui de ma robe de base, alias la robe idéale, que la Prof qui sait composer avec nos morphologies, m’avait dessinée il y a deux ou trois ans. Ce patron, réalisé une première fois, a été enterré sur un malentendu. Il est vrai qu’à ce stade-là de nos aventures de couture, je ne comprenais pas grand chose aux retouches morphologiques et à la manière de les intégrer dans des projets futurs. Pour faire court, il y a quelques semaines, alors que je cherchais un patron pour réaliser une robe droite, la Prof m’a rappelé que nous avions fait un grand travail sur le patron de cette robe de base et que ce serait peut-être le moment de l’exploiter.

L’idée était d’utiliser un panneau de jersey milano blanc et bleu, mais ce coupon s’est finalement avéré trop juste pour y installer les pièces de la robe de base. Zut et zut ! J’ai donc reporté ce projet-là à plus tard. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de tester le patron sur un autre tissu de mon stock. Aussi, en fouinant dans mes caisses à tissu, j’ai retrouvé les deux très beaux coupons de polyester (beurk) de bonne qualité (si, si, je vous assure) que j’avais achetés lors d’une escapade à Toulouse. J’étais alors dans ma phase « orange » et croyez-moi, ça flashe ! Mettez vos lunettes de soleil !

La réalisation de la robe geisha

La réalisation est très simple, d’autant que je n’ai pas eu besoin de fermeture à glissière. Je peux enfiler la robe par la tête. La seule difficulté pour cette robe s’est cristallisée autour des pinces poitrine.

Premières étapes

Lors du premier essayage, j’ai trouvé les pinces trop courtes et j’ai constaté que l’emmanchure baillait un peu. En élargissant la pince, ce défaut a disparu. J’en ai aussi profité pour allonger la pince d’un centimètre. Lors de l’essayage suivant tout semblait tomber correctement. J’ai donc cousu la pince et les coutures latérales, j’ai tout surjeté etc… J’ai aussi été obligée de couper le surplus de tissu de la pince, car en la repliant vers le haut, elle empiètait dans l’emmanchure ! Au plus tard à ce moment-là, j’aurais dû me douter qu’il y avait un problème.

Et déconvenues

Le résultat des courses est que les pinces poitrine sont trop hautes maintenant. De surcroît, la pince du côté gauche est complètement ratée. Je ne sais pas pourquoi, elle fait une boursoufflure archi laide à la pointe. J’ai défait et refait une fois, mais rien n’y fait. De plus, impossible de rectifier au repassage, car ce superbe polyester très glissant est réfractaire au repassage. Je ne peux pas reprendre le tout, puisque j’ai coupé le surplus de tissu, donc je fais contre mauvaise fortune bon coeur. Je me dis que la couleur vive et les grands motifs capteront toute l’attention et que ce défaut grossier ne sera pas trop remarqué.

On peut toujours se bercer d’illusions.

En tout cas Falbala l’a tout de suite remarqué ! L’oeil de lynx de la couturière. Tant pis pour moi, je ferai mieux la prochaine fois. Et surtout, avant de reproduire ce patron, je corrigerai ce point avec notre Prof pour éviter de nouveaux problèmes.

L’ourlet

Sinon, autre mystère, j’ai coupé la partie dos plus longue que la partie devant. C’est étrange, ça m’arrive de temps en temps. En l’occurence, j’ai trouvé que cela rendait plutôt bien pour cette robe, j’ai donc coupé un ourlet « high-low » (plus court devant que derrière) et arrondi au dos. J’ai fait un ourlet roulotté tout autour pour préserver la légèreté de la robe.

La parementure

Enfin, j’ai fini l’encolure et les emmanchures de ma robe geisha avec une parementure que j’ai cousue toujours selon la méthode de Coupe Couture dont je vous parlais ici.

La séance shooting de la robe geisha

Pour la séance photo, j’ai traîné Falbala dans le parc de l’Orangerie à l’heure de midi, en pleine chaleur ! Difficile de faire de belles photos avec le reflet du soleil très violent et les zones d’ombre profonde. Heureusement que ma robe orange flash a réveillé les ombrages des arbres.

Falbala s’est donné beaucoup de mal. Attention, avalanche de photos !

Et pour faire plaisir à Monsieur, j’ai accessoirisé la robe avec le bel éventail vietnamien que m’a offert Domi qui coud pas, pour mon anniversaire. Voilà, la geisha et la vietnamienne sont réconciliées.

Bises à tout le monde et restez connecté(e)s.

Fanfreluche

Le top coup double – Garde-robe d’Augustine # 9

Le top coup double – Garde-robe d’Augustine # 9

Pourquoi cet intitulé me direz-vous ? Eh bien, parce qu’en réalisant ce petit haut à col claudine, j’ai fait d’une pierre deux coups. Le top coup double m’a permis d’innover en combinant deux cadeaux que m’ont offerts mes amies. Il y avait d’une part cette ample robe de grossesse offerte par C. qui n’en avait plus l’utilité mais qui trouvait dommage de jeter cette fraîche popeline bleu lavande et d’autre part, le très beau livre des Intemporels pour enfants de Astrid Le Provost, que mes copines m’ont offert pour mon anniversaire. Donc, dans un premier temps, recyclage d’un très bon tissu et dans un deuxième temps, exploration d’un nouveau patron de couture pour enfants, le haut à col claudine.

Je ne suis vraiment pas une spécialiste du recyclage, mais là j’ai très rapidement vu le potentiel gain de temps de cette robe boutonnée dans le dos pour confectionner le haut à col claudine, lui aussi boutonné. Une patte de boutonnage toute prête – même les boutons déjà cousus – c’est quand même le must !

Alors, évidemment il y a des défauts qui sont entièrement de mon fait: le col qui se chevauche dans le dos (aïe !), ce n’est pas beau, mais disons que c’était un test et que je ferai mieux la prochaine fois.

Pour le reste, j’en suis assez satisfaite. Ce coton doux et léger s’est avéré très agréable à coudre et le rapport temps de travail / résultat fut hautement positif. J’ai cousu la taille 4 ans en pensant que ce serait énormément trop grand, mais l’essayage improvisé a montré qu’Augustine pourrait tout à fait le porter dès à présent, en mode tunique ample. L’année prochaine, ce sera un haut plus ajusté.

Donc, je vous montre cela. Je vous présente mes excuses pour les photos un peu vite faites. En plus la demoiselle n’était pas trop motivée pour faire des prises de vues correctes. Quoi qu’il en soit, cela vous donne une idée.

Je vais me calmer un peu avec les cousettes pour petits loustics. Il est temps que je reprenne les projets plus sérieux pour Fanfreluche.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Fanfreluche

La robe de princesse – projet mariage # 3

La robe de princesse – projet mariage # 3

Quand notre fils nous a annoncé, il y a plus d’un an et demi, qu’il avait pris la grande décision de demander sa chérie en mariage, il nous a expliqué, dans la foulée, qu’il souhaitait qu’Augustine soit leur demoiselle d’honneur et qu’elle porte les alliances jusqu’à l’autel. Inutile de vous dire que nous attendions avec impatience le moment où Augustine déciderait de nous lâcher la main pour marcher toute seule. Il le fallait pour qu’elle puisse remplir dignement son rôle. A présent elle est prête à se lancer et même à porter des charges plus lourdes qu’elle (incroyable ce qu’elle est capable de charrier) !!

Par conséquent, il lui fallait une robe à la hauteur de la mission solennelle qui lui était confiée.

Le choix du tissu

Oma Fanfreluche a démarré en douceur, puisqu’il restait pas mal de temps pour réfléchir et concevoir, puis exécuter. Je savais que la robe de princesse serait le dernier projet que je coudrais, car il fallait qu’elle soit pile à sa taille. Or, les très jeunes enfants grandissent vite et parfois de manière imprévisible.

C’est à l’occasion de notre visite au Musée de Wesserling, avec M. Fanfreluche, sur recommandation de Falbala qui nous y avait précédés (vous pourrez lire son reportage ici), que j’ai trouvé chez Bleu des Vosges un joli voile de coton blanc rebrodé, avec un motif de fleurs en transparence. Je l’ai rapidement identifié comme un tissu potentiel pour la robe de demoiselle d’honneur d’Augustine.

Pour le reste, un voile de coton blanc tout simple et du tulle souple rose et blanc acheté sur le site des Coupons de Saint Pierre.

Le patron

Le patron de la robe de princesse est un des patrons fétiche de la Prof qui aime coudre des robes à sa fille, maintes fois testé et approuvé en différentes tailles. La forme est simplissime : un buste ajusté et cintré par des pinces devant et dos et une jupe à plis creux, qui peut également être froncée. C’est cette dernière option qui a été retenue, car elle apporte un plus joli volume à mon voile de coton très fin.

La réalisation

Pour tester, j’ai coupé et cousu la taille 2 ans dans le tissu de doublure. Lors du premier essayage de la partie buste, j’ai constaté qu’elle est un peu large, mais comme Augustine bouge dans tous les sens et que le tissu n’est pas extensible, j’ai préféré ne rien modifier.

J’ai coupé le buste à l’identique en tissu brodé et en tissu de doublure et j’ai fermé les coutures d’épaules des deux pièces.  Ensuite j’ai placé les deux bustes endroit contre endroit et les ai cousus au niveau de l’encolure et des emmanchures. Puis j’ai recoupé les marges de couture, cranté dans les arrondis et retourné le tout en faisant glisser les parties dos en passant par les bretelles.

Ensuite, il ne restait plus qu’à fermer les coutures latérales en une seule fois. Pour cela, placer endroit contre endroit le tissu de la robe et le tissu de doublure au niveau des coutures latérales et coudre dans le prolongement l’un de l’autre.

J’ai suivi le tuto de Coupe Couture: Doubler une robe sans col et sans manches, que vous pourrez consulter pour mieux comprendre. En effet, emportée par mon élan, je n’ai pas pensé à faire des photos des différentes étapes. Décidemment, quand Falbala n’est pas là pour faire les reportages photo !!

Sur ces photos j’avais épinglé le haut de la robe et la partie jupe pour avoir une idée du rendu. Comme je vous disais, la Prof m’a recommandé de remplacer les plis par des fronces et tout de suite l’effet est plus joli. A ce stade, on voit encore les tracés de couleur que j’espère bien réussir à faire disparaître au lavage…

Edito :

Au sujet des tracés de couleur… Je vous conseille fortement d’éviter l’utilisation du papier calque de couleur sur le tissu blanc !! J’ai lavé, puis trempé la robe dans du détachant Vanish pendant des heures, j’ai frotté au savon à la bile de boeuf… et, rien à faire, il reste encore des traces de jaune. En revanche, là où j’avais utilisé du feutre lavable, les traces ont disparu.

Essayage intermédiaire, avec la jupe froncée.

Le jupon en tulle

La réalisation du jupon en tulle me posait un problème. Je ne voyais pas comment faire : couper à plat ou créer des plis ? La Prof qui n’aime pas la complication m’a montré la solution toute simple : poser bien à plat la partie jupe de la doublure, poser dessus le tulle rose en quadruple épaisseur et couper tout autour. Et voilà, c’est fait, le jupon était créé. Il a suffi de le piquer le long de la couture de taille de la jupe en doublure et de surjeter les deux épaisseurs ensemble.

Puis, pour donner davantage d’ampleur et de volume, j’ai ajouté un volant de tulle blanc environ à mi hauteur du jupon rose. Celles (ou ceux) qui auront déjà fait l’expérience de froncer plusieurs mètres de tulle, puis de les stabiliser et de les fixer bien droit sur le jupon, me comprendront. Ouf ! Je ne recommencerai pas de sitôt! En tout cas, je suis ravie de l’effet obtenu.

Dernières finitions

La robe est fermée par une fermeture glissière invisible au dos et je trouve que c’est assez réussi. Re-ouf ! J’ai fait un double rentré pour l’ourlet du bas de la jupe et coupé le volant en tulle 5 cm plus long que l’ourlet. En effet, la maman d’Augustine souhaitait que le tulle dépasse au bas de la jupe. Une vraie robe de princesse, je vous dis ! C’est bien ainsi. Compte tenu du travail que cela représente, ce serait dommage de le cacher.

 

Pour finir, il restait à réaliser la ceinture. J’avais acheté deux rubans de satin, l’un rose, l’autre bordeaux, au choix. Ce sont les parents d’Augustine qui ont choisi et la balance a penché vers le bordeaux. Après une longue réflexion et pas mal de discussions avec Falbala, j’ai opté pour un nœud plat que j’ai placé au milieu devant. La ceinture a été fixée à la main par quelques petits points faits à la main,tous les 6 cm environ.

Voici le résultat final. J’ai fait des photos face à la fenêtre pour que vous vous rendiez bien compte de la belle transparence du voile de coton et d’autres où vous verrez mieux les détails de la robe. Je ne mettrai pas de photos de la robe portée avant le mariage. Je compte un peu sur le photographe professionnel pour réaliser de belles photos de notre Augustine, incapable de rester immobile plus d’un quart de seconde !

Je suis réellement soulagée d’avoir terminé ce projet, 2 semaines avant le grand jour.

Je suis sûre que notre princesse sera la plus jolie ! – enfin juste après la mariée, s’entend !

A très bientôt.

Fanfreluche

Edito

Je vous propose deux petite photos de la robe portée, certes pas géniales, mais qui ont le mérite d’exister ! Bises.

Le tee shirt crocodile pour garçon

Le tee shirt crocodile pour garçon

Comme je vous le disais précédemment, j’ai craqué pour plusieurs modèles de couture enfant dans le numéro du magazine Fait Main d’août 2018. J’ai donc récidivé aujourd’hui avec le tee shirt crocodile pour garçon. Le modèle d’origine est bien plus soft comme vous pouvez le voir ci-dessous : deux jerseys bleus coordonnés qui d’ailleurs me plaisent beaucoup aussi.

Toutefois, le tee shirt crocodile a pour vocation de faire plaisir à une gentille collègue un peu « entichée » de crocodiles et à qui j’avais promis de coudre un tee shirt pour son petit garçon. J’ai donc arpenté le Marché des Hollandais ce printemps à la recherche de crocodiles et fini par déterrer ce jersey de coton qui allait faire l’affaire.

Le modèle 130 du Fait Main prévoit des bandes / empiècements d’épaule et des manches montées en deux parties, ainsi qu’une petite poche plaquée. Cette particularité offre de multiples possibilités de personnalisation, mais je n’avais rien, dans mon stock, qui pouvait s’accorder avec mon jersey crocodile. Et c’est là que ma Falbala a déboulé l’autre matin, avec son Gabriel rayé !! Euréka !

Le jersey rayé du marcel de Falbala avait toutes les nuances requises et bien plus. Bien sûr, Falbala m’a gracieusement cédé le reste de son coupon et je me suis mise au travail.

Je m’inquiétais un peu à l’idée de combiner les différentes coutures au niveau des manches et des empiècements d’épaule, mais finalement tout s’est passé comme sur des roulettes. J’ai tout de même bâti les empiècements pour être sûre que les rayures restent bien en place, puis j’ai fait la couture à la surjeteuse.

Ensuite, j’ai réutilisé ma nouvelle recouvreuse préférée pour faire les ourlets et la surpiqûre au niveau de l’encolure. Et, à ce propos, je dois corriger mon pas à pas publié récemment, car j’ai en effet mal compris l’une des étapes de la couture en rond. Contrairement à ce que je disais dans mon précédent article, le blocage des fils du début de la couture se fait de façon bien plus confortable, une fois que l’on a presque cousu tout le tour. A ce moment-là, les fils à nouer se retrouvent juste devant soi et pas besoin de se contorsionner pour faire le noeud de blocage.  Donc, à bon entendeur, salut !

Et voici quelques photos du tee shirt crocodile, avec ses rayures petit Marcel.

Et en complément, je vous propose aussi ci-dessous des photos du petit garçon, qui a adopté son tee shirt crocodile.

Grosses bises à toutes et tous.

Fanfreluche

La robe en soie turquoise

La robe en soie turquoise

Je voudrais vous présenter aujourd’hui un projet au long cours, qui est finalement arrivé à bon port. Il s’agit de la robe en soie turquoise, tout à fait dans l’esprit marin avec sa couleur lagon et légère comme une brise… Cousue dans une double gaze de soie incrustée de fils de lurex, cette robe-là n’était pas gagnée d’avance.

Le projet

La soie turquoise demandait un patron sans aucune fioriture. Ma première idée était de réaliser une jupe toute simple, élastiquée à la taille. Mais d’autres propositions ont été avancées lors d’un brain storming du vendredi soir et le choix s’est arrêté sur une robe droite à bretelles à enfiler par le haut. En effet, je ne me voyais pas fixer une fermeture à glissière sur ce tissu très vaporeux et animé d’une vie bien à lui.

Les tribulations de la robe en soie turquoise

Impossible d’utiliser les modes de traçage habituelles pour ce tissu. Il a fallu tout bâtir à la main, avec la bonne veille méthode du bâti tailleur. Je vous fais grâce des multiples retouches et essayages. Il me suffira de vous dire que la robe a été commencée (si je me souviens bien) au printemps/été 2017 et presque terminée, à l’exception d’un ultime et délicat pliage au niveau du décolleté et de l’emmanchure. Malheureusement pour la robe en soie turquoise, sur ces entrefaites l’automne est arrivé et d’autres projets « prioritaires » se sont infiltrés. La robe couleur lagon a été abandonnée dans un sac en plastique au fond d’un placard.

Je l’ai déterrée il y a quelques semaines (c’est à nouveau l’été, n’est-ce-pas?) et remise sur la table. La Prof au doigté magique y a mis la dernière touche et j’ai fini la couture du décolleté/emmanchure tout à la main. Puis, pour maîtriser la doublure qui rebiquait malgré la couture morte que j’avais faite dans les règles de l’art, j’ai finalement mis un bon coup de surpiqûre à la machine à coudre et puis voilà !

Et pour finir…

J’oubliais de vous parler de la ceinture élastiquée que j’ai cousue, mais qui n’a en définitive pas été utilisée, car M. Fanfreluche préfère la robe sans ceinture. Je vais peut-être la démonter et réutiliser le bel élastique turquoise et scintillant pour un autre projet.

Comme vous le voyez, je suis finalement assez contente de cette robe très légère et idéale par cette chaleur.

Prenez bien soin de vous et restez cool !

Fanfreluche