Comme beaucoup de petits garçons (et de petites filles aussi), Amaury est fan d’engins motorisés et, plus particulièrement, de camions de pompiers. Du coup, lors de ma virée au Marché des Hollandais, quand je suis tombée sur ce superbe jersey « pompiers », forcément j’ai craqué. Et je ne me suis pas arrêtée là. Eh oui ! Contrairement à Falbala, moi je ne suis pas vertueuse du tout. Mais ça c’est une autre histoire.
Une nouvelle salopette
J’ai trouvé que ce jersey était le parfait candidat pour refaire une salopette pour Amaury. Pour ce projet, j’ai repris le patron de la salopette d’été du Burda Style Baby que je vous ai déjà montrée ici. Cette fois-ci, comme l’hiver frappe à notre porte, il fallait allonger le short. Amaury n’est pas très épais, en revanche, il grandit, bien à son rythme. Par conséquent, j’ai repris la taille 72 en largeur et j’ai agrandi à la taille 80 en longueur. D’après son papa, ça allait être juste parfait pour être porté tout de suite.
Aucune mésaventure cette fois-ci
Si vous consultez l’article consacré à la première version de la salopette, vous verrez que j’avais bien galéré avec les épaisseurs au niveau de l’entrejambe. Le modèle était prévu avec une patte de boutonnage pour faciliter le change. Mais je n’ai pas réussi à gérer les épaisseurs et j’ai donc fermé l’entrejambe. Amaury et ses parents s’en sont bien accommodés.
Cette fois-ci je n’ai même pas essayé et j’ai décidé de remplacer les bandes d’ourlet prévues pour la salopette short par des coulisses dans lesquelles j’ai passé des élastiques. C’était un bon plan. Vite fait, pratique et confortable.
Et le tee-shirt en prime
Après, il fallait bien sûr coudre un haut assorti. Mon choix s’est arrêté sur une chute de jersey gris, dans lequel j’ai cousu un tee-shirt pour Monsieur Fanfreluche (jamais montré, car pas une franche réussite – bon, ça ira pour sortir les poubelles et passer la tondeuse…)
Alors, je ne me souviens plus du tout quel modèle j’ai cousu, mais en tout cas, j’ai fait au plus simple. Le jersey gris est très souple, donc j’ai fait l’impasse sur la patte polo ou sur le boutonnage épaule. J’ai croisé les doigts pour que ça passe et ce fut le cas. Ouf !
Les deux cousettes ont été exécutées assez rapidement, car il fallait qu’elles soient prêtes pour la visite d’Amaury, qui est venu nous voir avec ses parents il y a deux semaines.
Voici l’ensemble en cours d’achèvement (quelques fils qui pendent).
en cours d’achèvement
Pour faire un rappel du jaune soutenu de la salopette, j’ai fait une surpiqûre à la recouvreuse à l’encolure et aux manches.
Et voici quelques photos de l’ensemble porté par le petit homme. Il l’a tout de suite adopté et ses parents aussi étaient contents. Vous imaginez que moi aussi j’étais ravie.
En voici d’autres.
En vous montrant cette salopette pour fans de camions de pompiers, je participe au défi de Nabel qui nous invite tous les deux mois à coudre ou tricoter pour nos hommes, grands ou petits. Merci à Nabel pour son engagement sans faille et rendez-vous sur son site pour découvrir les réalisations des autres couturières.
La robe coquelicot a été cousue il y a déjà plusieurs mois, mais n’avait pour l’instant pas trouvé le chemin du blog. Et puis, il y a une quinzaine, Nathalie m’a traînée dehors pendant une de nos traditionnelles « pauses clope » (clope pour elle, solidarité pour moi), et a fait quelques photos. Je vous avertis, certaines d’entre elles sont un peu loufoques.
Le modèle est une simple robe droite qui gomme les imperfections. Une fois le patron validé, elle est très facile à réaliser.
C’est le tissu qui fait tout
Vous l’aurez constaté, je me suis amusée à la coudre dans des tissus très variés. Cependant, après mes premières tentatives en tissu chaîne et trame (la robe geisha), j’ai vite compris que l’idéal c’est vraiment le jersey milano. J’ai donc craqué à plusieurs reprises, lors des marchés hollandais, pour de beaux panneaux qui ont la bonne idée d’être exactement de la bonne dimension pour y tailler ma robe droite « maison ».
La robe coquelicot en quelques mots
Passons donc à ce panneau aux coquelicots, qui dormait depuis un certain temps dans mon stock. En début d’été, après les semaines d’efforts consacrés au patron du pantalon, j’ai soudain eu envie d’un projet simple et satisfaisant. Parmi une multitude de coupons candidats pour un projet estival, ce sont les coquelicots qui ont gagné la bataille.
Je me suis dit que pour « changer un peu », je pourrais modifier la forme des épaules. J’envisageais une forme un peu plus tombante que celle du modèle d’origine. Mais voilà, le panneau n’était pas bien grand, donc pas vraiment la place. Alors, je me suis contentée d’élargir légèrement l’épaule et de remplacer mon traditionnel ourlet d’emmanchure par une étroite bande contrastante.
bandes d’emmanchure et d’encolure
La même bande noire contrastante a trouvé place à l’encolure. Vous noterez peut-être les petites lignes taupe qui éclairent le noir de la bande. Celles-ci ont eu la bonne idée de se placer juste où il fallait pour faire un petit effet intéressant, je trouve.
Et voilà les seules fantaisies que j’ai ajoutées à cette robe, ce sont les coquelicots qui font le job !
Quelques photos
Le shooting a commencé en douceur, voici Fanfreluche la timide.
Et puis, Nathalie a dit : « bouge un peu ». Et je me suis exécutée.
Voilà comment s’est terminée cette séance photo de la robe coquelicot.
En attendant les cousettes plus automnales, je vous dis à bientôt.
Bonjour à toutes et tous. Me voilà de retour après un road trip en Nouvelle Aquitaine. Cette fois-ci, c’est pour de bon, parce que mine de rien, même les plus belles vacances ont une fin. J’avais bien préparé ce voyage, notamment en m’équipant comme il faut pour les grandes chaleurs. Alors, j’avoue que les températures ont été bien plus raisonnables que dans la Drôme, mais j’ai malgré tout bien profité de la tenue que je me suis cousue pour les vacances.
Je vous montre cela tout de suite.
Le short pour les vacances
Comme vous le savez, j’ai récemment poursuivi la quête du pantalon (presque) parfait. La toile portable que vous avez vue dans mon précédent article a même eu le droit de m’accompagner dans les champs de lavande. Elle a, dans l’intervalle, été équipée de passants de ceinture et a une nouvelle fois trouvé place dans ma valise.
Encouragée par ce succès, j’ai tenté la couture d’un short. Il me restait un coupon de coton élasthanne bordeaux un peu épais, dans lequel j’avais cousu une salopette pour Amaury. J’ai utilisé l’envers du tissu car ce coton au touché peau de pêche un peu velours, a tendance à attraper toutes les petites poussières.
En fait, la réalisation du patron ne s’est pas avérée facile. J’ai pas mal tâtonné ; d’abord pour trouver la bonne longueur, ensuite pour la bonne largeur de la jambe. Heureusement que j’ai un short en jean de chez Promod qui m’accompagne depuis quelques années et sur lequel j’ai pu « copier ».
Pour la réalisation du short, j’ai repris les finitions prévues pour le pantalon Ottobre Sounds of Blues, qui m’avait servi de base pour le miracle du pantalon. Donc, j’ai posé des poches devant arrondies et des poches plaquées au dos.
poches plaquées dos
poches arrondies devant
la vie intérieure de la poche
Ensuite, pour la braguette, j’ai suivi l’exemple de mon short qui a une fermeture glissière très courte et dont la braguette est ensuite fermée par deux boutons (offerts par Nathalie alias Falbala). Comme vous voyez, je ne me suis pas facilité les choses. Et pourtant, la réalisation de cette petite fantaisie est passée crème !
la braguette
Pour les poches plaquées j’ai pris le tissu sur l’endroit. Cela crée un contraste qui m’a semblé intéressant.
poches plaquées au dos du short
Tunique Burda pour les vacances
Pour assortir avec le short, j’ai choisi de coudre une tunique. Il me restait un coupon de voile de coton trèèès transparent mais qui pouvait coller avec le bordeaux du short. Certes un peu dark, mais vraiment léger.
C’est la tunique Burda du magazine 07/2021 qui me plaisait beaucoup. Donc, banco.
Tunique Burda
Comme je vous le disais, ce voile de coton est transparent. Un peu trop pour moi et pourtant je ne suis pas particulièrement pudique. Mais Monsieur, dont j’ai sollicité l’avis, m’a recommandé une doublure.
Par conséquent, j’ai cousu comme un seul tissu mon voile transparent et un voile de coton noir. Seules les manches sont restées en simple épaisseur.
doublure en voile noir
Eh bien, les manches, parlons-en. D’abord, ce sont des manches courtes par manque de tissu. Ensuite, elles sont raglan, normalement un gage de confort.
Mais voilà, au premier essayage, il s’avère qu’il est impossible de lever les bras. Ça coince. Pas assez d’ampleur. Peut-être un défaut du patron ?
Étant donné que je n’avais plus de tissu pour corriger cela, j’ai décidé de tailler dans le vif. Voilà. Maintenant j’ai des manches fendues et ça fait le job. Mais pour une autre fois, je vais tout de même étudier un peu mieux la question. Peut-être faudrait-il remonter l’emmanchure ?
Les manches fendues
Sinon, je suis contente de la pose du ruban d’encolure qui se fait avec une technique sympa. Il y a un pas à pas dans le magazine, que j’ai suivi et qui a très bien fonctionné avec mon tissu très fin. Le bout du ruban à nouer est retourné à l’aide d’un long fil noué au chas d’une aiguille.
L’encolure et son ruban
Après, dans l’ensemble, cette tunique est un peu bonbonne, c’est vrai. Mais je m’en moque, je la porterai quand même.
Et avalanche de photos, pour les vacances
C’est tout pour aujourd’hui. Je souhaite une bonne rentrée à ceux et celles qui reprennent le travail et une bonne continuation à tous les autres. Moi j’y retourne demain.
Décidemment Augustine grandit et ses goûts s’affinent. Il y a quelques semaines, elle m’a montré le dessin technique d’un bermuda Ottobre (numéro été 3/2021) en me disant qu’elle souhaiterait que je lui couse ce modèle. J’avoue avoir été surprise de sa démarche, car d’emblée une fillette de 4 ans ne devrait pas être attirée par un dessin technique en noir et blanc. Cela étant, nous avons plongé ensemble dans mes boîtes à tissu et Augustine a choisi un joli sweat d’été à fond bleu pétrole.
Commençons par le bermuda Ottobre
Après vérification, il s’avère que le modèle faisait tout de même très « sport », voire « garçon ». De plus, il était proposé dans une taille trop grande pour Augustine. J’ai soumis le problème à notre professeur/mercière Marie qui a très vite identifié, dans le même magazine, un short dans la bonne taille qu’il suffisait d’adapter au modèle choisi. En gros, il suffisait d’ajouter les découpes nécessaires à la création des bandes latérales et des poches qui s’y cachent, ainsi que la fausse braguette.
Ci-dessous le modèle souhaité.
Et le modèle qui a été adapté.
Bermuda Ottobre – Choix des tissus
Comme je vous le disais, nous avions d’un commun accord choisi ce joli sweat d’été, aussi nommé French Terry, décoré de motifs d’animaux et de divers végétaux et champignons. Bon, pour tout vous dire, à la réflexion, le dessin et les couleurs me faisaient plus penser à l’automne qu’à l’été. Par conséquent, pour éclaircir l’ensemble, j’ai coupé les bandes latérales dans un bord côte bleu clair qui rappelle – de loin – le décor des arbres du tissu principal.
Pour les poches et fonds de poches, j’ai retrouvé une chute en sweat uni bleu pétrole de même épaisseur qui s’accordait parfaitement avec mon tissu. Et une chute en moins dans ma pile. Comme quoi je fais bien de garder tous ces petits bouts de tissu.
Le modèle est simple à réaliser tout à la surjeteuse, mais il y a tout de même des éléments qui demandent un peu plus de patience et de précision. Il s’agit surtout des poches, pour lesquelles j’ai dû jouer du découd-vite. Je crois que j’aurais dû mieux lire les instructions pour m’éviter certaines déconvenues. Enfin, j’en suis venue à bout.
Deuxième point technique, la réalisation de la – fausse – braguette. En fait, c’en est une vraie, mais comme il y a une ceinture élastiquée, la braguette n’est pas nécessaire. Elle est donc surpiquée de deux coutures horizontales qui la ferment.
Des pois et des froufrous pour une blouse girly
Le bermuda sport avait, selon moi, besoin d’un top fun qui lui donne une touche girly.
J’ai donc feuilleté mes magazines et je suis tombée sur la revue B Trendy printemps/été 2020. Je l’avais acheté car il y avait plusieurs modèles qui me plaisaient, mais je ne l’avais pas encore testée. J’avais notamment repéré la combinaison pilote kaki et le combishort.
La petite blouse que j’ai cousue à Augustine est celle que vous voyez tout en haut à gauche de la page de couverture. Le patron taille bien, les instructions sont un peu sommaires, mais proposées en cinq langues. Bon, cela n’ajoute rien à la substance des explications, mais de toute façon je m’en suis sortie.
La jolie batiste de coton turquoise à pois blancs vient de la boutique du Fil Amant et le petit bouton en nacre était dans mon stock de boutons de récup.
Cette petite blouse à volants présente quelques points techniques qui demandent du temps et de la précision. Je parle notamment de la goutte au dos, ainsi que de la pose des volants, des mancherons et des biais qui assurent la finition de la partie basse de l’emmanchure. Il faut dire que le tissu très fin facilite la chose, car un coton plus épais aurait sans doute créé des surépaisseurs plus difficiles à gérer.
La seule remarque / critique que je ferais est que la blouse est un peu trop droite. Je pense qu’elle aurait été plus jolie si le bas était plus évasé. Cela dit, Augustine est mince et ça passe au niveau des hanches.
Les photos de l’ensemble
Augustine s’est pliée à l’exercice du shooting pour illustrer le blog. Donc je vous montre cela, en mode photos d’intérieur, car il ne faisait pas assez chaud ce jour-là pour sortir en short et sans manches ! Quelle météo de dingue cet été !
Et une dernière pour vous montrer le dessin réalisé chez sa nounou.
Je vous souhaite un beau mois d’août, si possible un peu plus ensoleillé que jusque là.
Pour celles – et ceux – qui suivent mes tribulations sur la toile, vous aurez sans doute constaté que je rêve depuis bien longtemps du miracle du pantalon. À savoir du patron – parfaitement – adapté à ma morphologie. Au fil de la recherche de ce graal, plusieurs tentatives de toile du pantalon ont eu lieu, encadrées par différents professeurs au fil des années, mais c’était souvent plus bof-esque que graal-esque, voire catastroph-esque (?).
Toutes mes excuses pour les libertés que je prends avec la langue française. Mais voilà, quand on se lance dans les projets miraculeux, ça laisse des séquelles. Y a qu’à voir ci-dessous.
Le miracle du pantalon – le projet
Il y a plusieurs semaines, après avoir achevé la robe Pretty Woman, c’est grisée par cette réussite que je me suis senti pousser des ailes. Donc j’ai décidé de reprendre le projet pantalon. Eh oui, je suis incorrigible. Je ne peux m’empêcher d’y croire.
Pour me lancer, j’ai choisi le patron Sounds of Blues du magazine Ottobre automne/hiver 5/2019; un pantalon slim – rien que ça – à réaliser dans un tissu avec un peu d’élasthanne.
Sounds of Blues, la toile V1
Marie m’a aidée à bien prendre mes mesures et j’ai décalqué le patron en taille 42. D’emblée, j’ai allongé de trois centimètres la fourche dos, pour tenir compte de mon postérieur et de ma cambrure.
Etant donné que j’étais en mode miracle, j’ai soigneusement découpé toutes les pièces du patron, y compris les fonds de poches et les empiècements devant, dans une jolie popeline coordonnée à mon sergé de coton stretch coloris moutarde. Puis j’ai tout bâti et je suis passée au premier essayage. Eh bien, je vous le donne en mille, le miracle du pantalon n’a PAS eu lieu !
Le miracle du pantalon – les ajustements
Le résultat des courses, en quelques mots : les hanches et les cuisses vont à peu près, en revanche, le GROS problème se situe au niveau du dos du pantalon. Les 3 cm ajoutés à la pointe de la fourche sont dérisoires par rapport au manque de hauteur de la fourche dos. En l’état, et malgré l’ajout de l’empiècement dos prévu par le patron et de la ceinture, le pantalon est loin de se caler sur ma taille. Ci-dessous, les modifications que nous avons apportées au patron du dos du pantalon. Vous voyez en bleu le tracé d’origine et en orange, le total de l’ajout, auquel il faut encore adjoindre la ceinture.
Certaines d’entre vous se diront peut-être que la fourche fait une « bosse » au niveau de la jonction des pièces ? Mais, voyez-vous, sur moi ça tombe correctement. Il faut croire que je suis bizarrement fichue !
Le deuxième problème détecté se situait au niveau de l’arrière de la cuisse, où il y avait un surplus de tissu qui formait des plis disgracieux. Marie a épinglé le surplus en forme de croissant de lune pour pouvoir le mesurer et nous avons creusé la fourche d’autant. Cette méthode a été assez efficace. Certes il restait des plis sur le reste de la jambe (surtout dans le creux des genoux), mais j’ai décidé de ne pas faire plus de modifications sur cette toile-là.
De toute façon, sur la version 1 de la toile, les différents ajouts ont pris la forme de patchs successifs et la toile n’est donc pas du tout portable. À moins de porter une tunique longue pour cacher la misère. Hum, nous verrons cela plus tard peut-être.
Cela dit, j’ai repris le patron pour une version 2.
Sounds of Blues – la toile V2
Le miracle du pantalon se poursuit, cette fois-ci avec une tentative en tissu chaîne et trame sans stretch. J’ai « sacrifié » un vieux rideau en coton très coloré pour cet essai.
Quelles modifications apporter ?
Eh bien, forcément il faut élargir, puisque le tissu ne va pas s’ajuster à mes courbes. J’ai donc repris le patron corrigé en ajoutant carrément des marges de couture de 2,5 cm (ou de 3 cm). Désolée, mais je ne me souviens plus.
Cette fois-ci j’ai coupé vraiment en mode toile, c’est-à-dire, sans poches ou autres détails du type empiècement.
Marie m’avait recommandé de couper la jambe beaucoup plus droite à partir du milieu de la cuisse, afin de pouvoir étudier le problème des plis qui se formaient dans le creux du genoux (team genoux cagneux). C’est donc ce que j’ai fait, puis j’ai tout bâti en cousant au plus large (il ne me restait plus que 5 mm de marge de couture au niveau des hanches et des cuisses) et essayé.
La partie hanches et fourche tombaient plutôt bien. En revanche, la jambe était maintenant beaucoup trop large et ça n’était pas beau. Donc, j’ai tout resserré en suivant le patron d’origine et c’était bien mieux. De plus, le miracle du pantalon a eu lieu d’une certaine manière, puisque les plis au creux du genou ont disparu !
Les finitions
Pour aller au bout des choses, j’ai posé la braguette – toujours une aventure ! Et j’ai posé la ceinture. Comme je continuais à n’y croire qu’à moitié, j’ai fait l’impasse sur les passants de ceinture, mais je crois que je vais en ajouter finalement.
La toile s’est avérée portable cette fois-ci et elle m’a même accompagnée en vacances. Attention, âmes sensibles s’abstenir, car voici les photos et vous ne couperez pas au shooting de mon postérieur fleuri. Le tissu froisse un peu, mais on lui pardonnera après un trajet en voiture.
Promis, je vais réitérer cette expérience et j’espère que le miracle du pantalon – ou du short – se reproduira.
On dirait le sud
Vous avez bien vu que nous avons visité le pays des champs de lavande ! Alors, pour vous donner une petite idée de notre escapade, voici quelques photos.
Sur ce, je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures.
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