Toujours dans la revue Home Projets n° 28, il y avait un joli modèle de sac pour les épingles à linge, monté sur un cintre. Je l’ai fait plus grand et plus profond que ce qui était préconisé. La poche du bas doit mesurer 20 cm (ich). Là encore Monsieur Falbala a été appelé à la rescousse pour bricoler un cintre en bois et en supprimer la barre latérale.
Le projet a l’air ultra simple mais quand c’est trop simple en général ça pose des problèmes… D’abord, ce qui me dérangeait c’est qu’aucune doublure n’était prévue. Et celles qui me connaissent savent que l’envers est tout aussi important que l’endroit.. Je me suis donc creusée la cervelle pour essayer de faire une doublure, mais en vain.. J’ai doublé le tissu parce qu’il était très fin mais ça n’a pas réglé le problème des coutures apparentes sur l’envers..
Ensuite, dans la précipitation j’ai fait une erreur dans la coupe du tissu. Le dos devait être entier et seulement le devant constitué de deux panneaux. Bien sûr j’ai coupé deux panneaux aussi pour le dos et je n’avais plus de tissu pour refaire un morceau entier. J’ai donc triché en faisant un raccord avec du biais large entre les deux panneaux du dos. Et au final, le cintre en bois prévu initialement s’est avéré trop grand mais j’ai réussi à trouver un cintre de la même forme plus petit.. ouff…..
En tout cas il a plu à notre « coquelicots addict », c’est l’essentiel..
C’est un joli prototype (faut pas trop regarder dedans..) A repenser pour de meilleures finitions à l’intérieur. Des commandes sont déjà prévues!!!
J’achète de temps à autres la revue Tendance couture simplicity lorsqu’un modèle me tente et puis j’empile et je passe à autre chose. Oui je sais on passe toutes par là!!! Cet hiver, à la recherche d’un projet couture j’ai retrouvé ce numéro spécial n°12 qui date de 2022. Et là il y avait cette jolie robe raglan, avec tout un tas de variations, modèle 10 et 11.. Une pépite en perspective!!
Le modèle de base, un raglan sous toutes ses formes
Il est très sympa avec une taille empire, des pinces sous la poitrine et des plis sur le devant. Il est parfait pour mettre en valeur les lolos mais convient mieux aux poitrines « opulentes ». Les manches sont assez larges. Elles peuvent donc se décliner avec des plis sur l’emmanchure ou pas. Le bas des manches, qu’elles soient longues ou courtes doivent être resserrées soit par des plis soit par des fronces. L’encolure est au choix soit arrondie soit en V, avec possibilité de grands cols. Pour tous les modèles, le dos est prévu avec une fermeture à glissière, ce que j’ai zappé pour une version maille et encolure dégagé.
Pour ce qui est des tissus envisageables pour ce modèle, la revue précise: satin, tissu soie, lin-soie, tissus en laine, jersey!!! Déjà à ce stade j’aurais dû me douter qu’il y aurait quelques problèmes de taille d’autant que ce modèle va par tranche de 2 tailles 36/38, 40/42 et 44/46. Sachant en outre que cette revue ne suit pas les standards européens de taille puisque les mensurations taille 38 correspondent à la taille 40, j’ai donc décalqué le 40/42.. La revue ne donne pas les dimensions finies mais les pièces ont été mesurées.. on avait anticipé de l’aisance mais pas autant que ça… Voici quelques exemples de réalisations:
Comme toujours dans cette revue les marges de couture de 1,5 cm sont comprises dans le patron.
La version de Fanfreluche
Pour ma première version (que je me destinais), j’ai choisi les manches longues et une simple encolure ronde. J’ai utilisé un superbe coupon de jersey du Fil amant. Une fin de rouleau donc il ne fallait pas gâcher!!! Les manches très larges ne rentraient pas dans le coupon. Marie m’a aidé à rebidouiller le patron pour les rétrécir et tout est rentré pile poil!
J’ai pas mal galéré pour positionner les plis du devant. Ils sont cousus sur une dizaine de centimètres afin de rester bien en place. J’ai cousu au point droit avec du fil maraflex légèrement élastique. Le montage de la jupe sur la partie corsage est un peu délicat du fait de la pointe au milieu. Il faut faire la couture en deux temps, s’arrêter au milieu, cranter au niveau du V et repositionner l’autre moitié de la jupe.Voilà ce que cela donne sur l’envers:
Et sur l’endroit (à gauche version Franfreluche et à droite la mienne):
J’ai cousu toute la robe et juste bâti les manches avant de faire le premier essayage. Une fois sur le dos, il était manifeste que la robe était beaucoup, beaucoup trop grande. Il aurait fallu tout démonter et reprendre partout. J’ai donc demandé aux copines de la couture si l’une d’entre elles était intéressée!! Fanfreluche s’est précipitée, moi moi!!! Elle l’a essayée et là, la magie a opéré. Elle lui allait comme un gant, rien mais rien à reprendre!!! L’ourlet du bas a été immédiatement tracé avec l’arrondisseur. Fanfreluche a fini l’encolure avec une bande et un élastique au niveau du poignet.
Ma version définitive
J’ai repris le patron récemment, pour décalquer la taille inférieure, 36/38. Cette fois j’ai pris le patron des manches courtes avec plis sur l’encolure. Pour ce deuxième essai, j’ai utilisé un coupon du stock, acheté à la mercerie du Fil amant. J’avais d’ailleurs utilisé ce tissu pour faire des empiècements de poche sur une robe Ottobre (ici). Nouvelle galère pour positionner les plis, j’avais oublié comment j’avais fait sur la première version! Cette fois j’ai juste cousu les pinces et les plis en définitif et j’ai bâti tout le reste. Et j’ai bien fait!! La robe taillait toujours trop grand et en particulier au niveau de la poitrine.
Marie a fait des retouches assez drastiques au niveau de la couture milieu dos, moins 4 cm des deux côtés. Cela a permis de la recintrer un peu mais il est très clair qu’elle n’est pas prévue pour un petit bonnet!!! Des retouches ont également été apportées de chaque côté à l’encolure. Cela l’a un peu transformée: elle apparaissait plus carrée que ronde. Pour la finition, j’ai préféré faire une parementure pour que cela s’adapte mieux.
Sur les manches il y a des plis au niveau de l’encolure (dos et devant) et de l’ourlet. Je ne les ai pas cousus comme sur la jupe, j’aurais peut-être dû le faire. Les manches étant très larges, j’ai fini avec un petit bracelet de manche plus étroit, monté à la surjeteuse.
Version automne/hiver ou estival, je trouve que ces deux robes quasi jumelles sont très chouettes.
Je suis toujours à la recherche de robes originales en maille. Dans un vieux Burda de Marie (octobre 2015), j’ai été gâtée par ce modèle (n° 113): une forme cintrée mais pas moulante, des découpes (dos et devant), des manches raglan, des empiècements au niveau des épaules avec un côté fermé par un zip, et une forme asymétrique dans l’ourlet du bas avec des fentes latérales. Prévue en outre en taille courte, elle était parfaite!!
Elle se décline en deux versions, manches courtes ou longues, avec ou sans ceinture. J’ai choisi la version manches longues (et sans ceinture) les beaux jours se faisant attendre.
Très emballée par cette robe, j’ai déterré un grand reste de French terry kaki uni, acheté à la mercerie de Marie du Fil amant. Et pour les empiècements, j’ai pioché dans un grand coupon de jersey coloré, toujours de chez Marie, dans les tons de violet. Je suis partie sur la taille 18 (taille courte) qui correspond au 36 chez Burda. Les pièces prennent pas mal de place du fait de la construction spéciale de la manche et du dos.
Le puzzle du raglan et des empiècements d’épaule et d’encolure
Sur le devant de la robe, il s’agit d’un réel raglan, avec des empiècements. Par contre sur le dos, la manche est à même. Elle est en une seule pièce et revient sur le devant pour être cousue sur l’empiècement. Ce n’est pas ce que je préfère en termes de patronage. La manche à même entraîne souvent des plis au niveau de l’emmanchure. En plus elle vrille du fait de sa conception. Ce n’est qu’une fois la robe montée que je me suis rendu compte de cet inconvénient.
Le montage des empiècements est assez casse-tête. On a vite fait de se mélanger les pinceaux entre parement et parementure (et droite / gauche). Sur l’envers, il y a une parementure de forme similaire aux parements afin de faire une belle finition intérieure sur le zip latéral. J’avais envisagé initialement de garder le zip mais vu la difficulté de montage et les risques de zip gondolé sur le jersey, j’y ai renoncé. Même avec un col haut, la robe s’enfile parfaitement sans zip. Pour la propreté intérieure, j’ai simplement surjeté tous les parements.
J’ai juste redessiné une parementure d’encolure assez large. Je l’ai surpiquée et je l’ai maintenue par des points à la main à l’intérieur sur les empiècements, pour éviter que tout remonte.
Le puzzle de l’ourlet
Une fois la robe montée et l’encolure réglée, je me suis dit c’est tout bon il ne me reste qu’à faire les ourlets.. ah! ah! L’ourlet est légèrement asymétrique entre le dos et le devant, pour rappeler la découpe milieu dos. L’ourlet dos arrive à la même hauteur que l’ourlet devant (sur les fentes) et s’arrondit légèrement et plus bas dans le dos.
J’ai commencé par piquer l’ourlet devant en étirant légèrement le rentré puisqu’il n’est pas droit mais vient également légèrement s’arrondir sur les côtés. C’est le dos qui m’a posé le plus de problème. Je ne sais pas ce que j’ai fait mais j’avais un sacré dénivelé entre le dos et le devant. J’ai pourtant revérifié les pièces du patron et je n’ai pas fait d’erreur. C’est véritablement un grand mystère!!
Marie m’a fait retravailler l’arrondi dos avec un plus grand décalage dos / devant que sur le dessin technique. J’ai retracé un arrondi et recoupé le surplus de tissu. Une fois surjeté, j’ai entoilé avec une bande d’ourlet pour faciliter ensuite la couture de l’ourlet. A l’essayage, le résultat s’est avéré totalement désastreux et toutes les copines de la couture ont été d’accord pour trouver ça moche moche. Marie a immortalisé le moment, super classe avec les « mimbas ».
Au final, l’ourlet dos et devant a été remis à la même hauteur, à l’arrondisseur. Il m’a quand même fallu découdre l’ourlet, le décoller pour tout remettre à niveau, recouper, resurjeter… bref..
Au porté, elle est hyper confortable. Elle pourrait même être un chouille plus ajustée au niveau du dos. Mais ça me va très bien comme ça. Elle est sophistiquée dans sa conception mais elle manque un peu d’ambition en termes de patronage. Mais on lui pardonne parce que globalement je la trouve très jolie .
Elle a été portée lors de ma dernière journée de boulot et a remporté un franc succès!! Et oui à partir de maintenant je rejoins avec grand plaisir le club des joyeuses retraitées!
Début janvier, l’anniversaire de Danièle approchait à grands pas (9 février).. Qu’est-ce qu’on peut offrir à une fana notamment de couture, d’art textile, de broderie, de laine et j’en passe.. L’embarras du choix !! Ces deniers temps, nous avions partagé un goût commun pour la broderie sashiko.. Je suis donc partie sur cette idée.
Les tribulations du chemin de table
Que faire avec du sashiko ? Genre un projet qui soit beau mais également utile.. J’ai épluché en vain les sites spécialisés, à la recherche du kit qui me taperait dans l’œil. Et puis finalement, pourquoi ne pas concevoir un chemin de table à partir de carrés de sashiko. J’ai cherché mais pas vraiment trouvé ce que je voulais. Je me suis donc rabattue sur un grand panneau bleu sur le site de Bebe bold, assez similaire de celui que j’avais brodé pour Fanfreluche. Mais cette fois j’étais décidée à tailler dedans pour construire un chemin de table.
Pour les couleurs, j’ai continué avec ce fil multicolore que j’adore et qui rend super bien en broderie sashiko (voir ici). J’avais un écheveau en plus, de quoi largement faire le panneau. Le panneau est arrivé assez vite (mi-janvier), dans un joli emballage et accompagné d’un petit mot.. Certains carrés sont assez rapides à faire, d’autres plus sophistiqués dans le dessin, prennent un peu de temps.
En parallèle, j’ai commencé à faire des plans pour élaborer le chemin de table. J’avais prévu initialement de découper tous les grands carrés et d’en utiliser sept. Il fallait au total que le chemin de table fasse les dimensions de sa table, soit 2 mètres. J’ai donc fait des calculs savants pour insérer des bandes de tissu entre chaque carré et ensuite faire une large bande de part et d’autre pour élargir le chemin de table. J’avais trouvé dans mes affaires une nappe rouge unie, dont les dimensions n’avaient jamais collé avec mes tables et qui ferait parfaitement l’affaire.
Au moment de couper, les ciseaux ont frissonné de peur du fait du faible espace entre les grands carrés brodés. Changement de plan et montage beaucoup plus simple et serein.. Enfin vous y croyez ??? J’ai gardé uniquement les deux rangées de grands carrés qui faisaient une dimension raisonnable en largeur de chemin de table, environ 50 cm. Et j’ai rajouté à chaque extrémité du panneau une bande de tissu rouge, pour arriver aux 2 mètres de long. Une fois assemblés, ça rendait plutôt pas mal. J’ai fait la doublure dans le même tissu rouge.
C’est à partir de la surpiqûre sur tout le tour que ça a commencé à se déglinguer, sur la partie bleue elle était vraiment moche et en plus pas très droite du fait que j’avais très peu de marge avec la broderie. Une fois lavé, j’ai pu constaté du retrait sur le panneau bleu. Avec un bon coup de fer, j’ai pu rattraper mais cette surpiqûre ne me plaisait vraiment pas. Je n’ai rien trouvé à notre mercerie fétiche pour la cacher, pourtant des trésors il y en a au Fil amant !!! Marie m’a suggéré de faire une broderie sur tout le tour.
Ah mais oui ! et le point de Palestrina s’est imposé tout de suite. J’ai fait un essai. Le fil sashiko est assez raide mais pour ce point ça allait.. Par contre cela m’a pris un temps fou! Mais quand on aime on ne compte pas!!
Sitôt offert, sitôt approuvé par l’intéressée!! Danièle a immortalisé tous les cadeaux prévus pour cette belle occasion!
Sac cadeau façon totebag
Pour ma grande fierté le chemin de table était prêt avant le 9 février. J’avais laissé de côté le sac cadeau que j’imaginais plié en moins de deux.. Ah ! Ah !! En général mes sacs cadeaux sont simples et réalisés en un tour de main, à grand renfort de surjeteuse. Mais là il restait de jolis restes de broderie. Je me suis dit que je pourrais intégrer les petits carrés qui me restaient, sur un sac genre totebag. J’ai pris comme largeur du sac trois motifs de libellules. Ensuite, j’ai casé trois petits carrés de broderie.
J’ai fixé à la main les petits bouts de broderie sur le totebag, réalisé dans le même tissu rouge que pour le chemin de table. Une sangle bleue de chez Marie pour rappeler le tissu sashiko et une cotonnade du stock pour la doublure et mon sac était enfin plié !!
Et suffisamment grand pour y caser le chemin de table.
je vous souhaite une très belle journée et je vous dis à bientôt pour de nouveaux projets.. Oui il y a pas mal de retard ici..
Les copines des soirées broderies avaient mentionné un salon de loisirs créatifs à Saint Dié avec pas mal de stands de broderie, notamment de la broderie Sashiko. Une petite virée s’imposait!! Le salon était assez intéressant et éclectique, avec un beau potentiel de cadeaux de Noël. J’ai bien craqué sur le stand de Couleurs Japon. J’y ai acheté pas mal de fils et surtout deux kits pour faire des sacs. Leurs dimensions étaient assez modestes mais parfaits pour des petits sacs à ouvrages. Jusqu’à présent j’avais un peu évité ce genre de kits parce que je trouvais leur prix assez élevé. Je comprends maintenant la raison de leur prix.
Le sac à tricot (ou autres) sashiko
J’ai fait ce sac pour une amie qui s’est lancée dans le tricot récemment. Il s’agit du kit Sashiko sac avec motifs de fleurs de cerisiers (déjà en rupture de stock chez Couleurs Japon mais peut être disponible ailleurs). Quand j’ai ouvert l’emballage, j’ai été vraiment surprise par le degré de finition. Tout est proprement assemblé et surjeté. Il ne reste que la couture côté à réaliser une fois que la broderie est terminée. La coulisse, les liens, les anses et le haut du sac sont parfaitement réalisés et presque prêts à l’emploi. Toutes les fournitures sont également prévues, fils, dé et aiguille. Bon la seule chose à redire sur ces kits ce sont les fils fournis. D’une part ils sont invariablement blancs et leur qualité n’est pas top.
J’ai utilisé un fil multicolore changeant pour égayer un peu le sac et le motif. La broderie est très vite réalisée et n’est que sur un côté du sac. Comme je voulais absolument le doubler, j’ai dû malheureusement démonter tout le haut du sac et refaire la coulisse, de manière à pouvoir intégrer de manière satisfaisante (!) ma doublure. J’ai utilisé une cotonnade du stock, probablement acheté à Paris il y a des lustres. Son motif à grosses fleurs colorées rappelle celui de la broderie..
Une fois terminé, cela donne un joli petit sac qui a plu à sa destinataire.
Sac pour mes affaires de broderie sashiko
J’avais acheté un deuxième kit de totebag qui me paraissait plus grand. Il y a un peu plus à broder puisque les motifs sont prévus de chaque coté du sac cette fois. Là encore très belle finition intérieure: le haut du sac est fini avec les anses intégrées.
Une fois ma broderie terminée, j’ai également démonté le haut du sac pour y insérer plus facilement la doublure. Comme je le trouvais assez petit, j’ai coupé le sac en deux et j’ai rajouté en bas du sac une grande bande de tissu rouge de mon stock. J’ai aussi changé les anses qui étaient trop courtes pour des anses en gros coton rouge du stock.
Pour ce deuxième sac j’ai utilisé le même fil et le même tissu de doublure.
Ce sac me permet de stocker (pour le moment!) toutes mes affaires de broderie mais il aurait pu être encore plus grand!!
Il y a encore de beaux projets en cours de broderie Sashiko. J’aurais certainement l’occasion de vous en parler plus prochainement!
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