Avec l’Avent, ce week-end de multiples expositions de crèches ont enfin ouvert leur porte en Alsace. Aujourd’hui, je vous en présente deux, différentes dans leur genre.
Cathédrale de Strasbourg et ses deux crèches
Tout d’abord, comme chaque année, la cathédrale de Strasbourg a mis en place sa grande crèche classique d’une vingtaine de mètres de long. J’avais été la voir il y a quelques années, mais c’est avec plaisir que je l’ai redécouverte avec Fanfreluche. Elle a été achetée au début du XXe siècle en Bavière.
Cette crèche ne se limite pas à la Nativité. Elle nous présente cinq scènes évangéliques (allez un peu de révisions y compris pour moi!!). L’Annonciation avec l’ange Gabriel qui annonce à Marie qu’elle portera l’enfant de Dieu.
L’Annonciation
La Visitation: Marie rend visite à sa cousine Elisabeth qui elle aussi est enceinte de Jean-Baptiste. On voit ainsi Marie enceinte
La Visitation
La Nativité, à noter que l’enfant Jésus n’est pas encore installé dans la crèche!!! Et Marie porte la couleur bleue.
La Nativité
L’Adoration des Mages, les rois mages sont représentés accompagnés de ce splendide éléphant et dromadaire. Et là on peut voir l’enfant Jésus dans les bras de sa mère..
L’Adoration des Mages
L’Adoration des Mages
L’Adoration des Mages
La Présentation de l’enfant Jésus au Temple, quelques jours après sa naissance.
La Présentation au temple
Outre cette crèche, la cathédrale de Strasbourg expose également des figurines baroques d’une crèche napolitaine du XVIIIe siècle. Ce trésor a été retrouvé et restauré en 2015. Ces figurines sont en terre cuite, bois et cire. Elles sont revêtues de costumes flamboyants en tissus. Et là une Marie en rose, et un joli nouveau-né.
Crèche napolitaine
Crèche napolitaine
Les Rois Mages et autres personnages. Les costumes sont absolument magnifiques..
Crèche napolitaine
Église St Paul-et-Pierre d’Obernai: Exposition de crèches africaines
Chaque année, la ville d’Obernai accueille une exposition des crèches du monde. Avant la pandémie, j’avais été la voir mais il y avait un monde fou et mes photos n’étaient pas terribles car faites en vitesse avec peu de lumière. Cette année, l’exposition se limite aux crèches africaines. Question fréquentation c’était royal, très peu de monde..
Cette exposition présente les pièces de la collection de l’Association de Bethléem de Muzerai, dans la Meuse. J’ai lu quelque part qu’une trentaine de crèches d’autres continents étaient cette fois réparties dans les différentes boutiques de la ville. Je n’en ai vu qu’une. Le musée de l’Association expose tous les deux ans ses crèches. L’année prochaine, le thème sera les crèches provençales.
Un village entier du Congo est représenté:
Une des plus jolies est une crèche du Sénégal, de par la gaieté des personnages et l’explosion de couleurs. Les personnages sont en tissus.
Crèche du Sénégal
Les crèches exposées sont du Sénégal, Burkina Faso, Niger, Congo, Madagascar, Tunisie… Je ne peux malheureusement en dire plus en l’absence d’explications ou de notices sur les pièces. C’est bien dommage..
Crèche de Madagascar
Crèche du Congo
Intérieur crèche du Sénégal
Voilà j’espère que ce petit voyage dans le temps et autour du monde vous aura plu autant qu’à moi. Et peut-être à bientôt pour de nouvelles aventures sur le sentier des crèches.
Novembre est toujours le tournant, l’amorce de l’hiver, avec sa météo moche, froide et humide. Mais il a au moins une bonne chose, il nous ramène la saison des crèches, l’avent et les festivités de Noël. L’année dernière était pour tout le moins une année sans espoir, sans bonheur, et bien entendu sans crèche.. Cette année, j’ai décidé de rattraper le temps perdu et même de mettre les bouchées doubles en partant à la découverte du sentier des crèches d’Alsace.
C’est un très beau programme qui commence bientôt mais dans l’intervalle, je voulais visiter une maison-musée des crèches en Forêt noire dont la tatie Onemei m’avais parlé depuis longtemps. Malheureusement, cela s’est avéré plus compliqué que prévu. La magie du net m’a quand même mis sur les pas de ce superbe musée des crèches en Forêt Noire, à Spaichingen.
Il est situé au sein d’une mission religieuse de l’ordre catholique des Clarétains. En août 2004, un particulier, Karl Gangen, a fait don de sa collection de crèches à la mission, à la seule condition qu’elle l’héberge de manière permanente et qu’elle la rende accessible au public.
Depuis lors, la collection s’est agrandie avec d’autres acquisitions, financées par des dons. La collection d’une cinquantaine de pièces, de toutes les tailles, nous fait voyager dans le temps, sur quatre siècles, et plusieurs continents.
Les crèches exposées proviennent de la région de Naples et de Sicile, du Tyrol, d’Amérique du sud et d’Afrique. Suivant les cultures, la couleur est plus ou moins présente ou intense. Sur les crèches européennes, j’ai été surprise de voir que Marie n’est pas toujours revêtue de bleue, mais de rouge.
Crèche italienne
Bien sûr mes préférences vont aux crèches africaines finement ciselées, épurées et esthétiques..
Les crèches exposées sont faites en différents matériaux, en bois, en cire, en porcelaine, en tissu, mais J’ai aussi découvert la tradition très ancienne des crèches en papier. On les retrouve en Autriche et en Italie dès le XVIIe siècle.
Crèche en tissu brodé
Crèche en papier
Crèche en papier
Crèche espagnole en porcelaine
Je me suis fait traiter d' »hérétique » (par une autre athée bien sûr) parce que je mettais tout de suite l’enfant Jésus dans la crèche. Or il est vrai qu’il ne devrait apparaître que le 24 au soir. Du coup, j’ai planqué un certain nombre de Jésus que je n’ai plus retrouvé… Quoi qu’il en soit une crèche n’est complète qu’avec tous ses protagonistes.. Ici le musée nous montre un certain nombre d’enfants Jésus, précieux et insolites, dont cette grande figurine espagnole, dite Jésus de Prague, datant du 16e siècle et offerte en cadeau de mariage.
La part belle est aussi faite aux crèches miniatures du monde.
Merci à monsieur de m’avoir emmené dans ce lieu magique, même si c’était un peu du style marathon, et merci à Fanfreluche d’avoir fait la traductrice des petites notices uniquement en Teuton!! J’espère que ce large panorama de crèches vous aura plus autant qu’il m’a émerveillé. Je vais tâcher de poursuivre ce périple et de voir encore de belles réalisations. Le moment est enfin venu de sortir nos crèches, alors profitons de ces instants magiques…
Le musée Souleiado (ensoleillade, oui faut bien dire que ça fait rêver après ce début d’été pourri!) est situé à Tarascon. C’est un charmant hôtel particulier d’Aiminy, au décor typiquement provençal.
Malheureusement il n’y avait personne à la réception lorsque nous sommes arrivés, donc pas de possibilité de visite guidée. En contrepartie il n’y avait personne dans le musée ce qui était top pour fureter et prendre des photos. Les pièces exposées sont dépourvues de toute explication sur l’origine ou la date de fabrication. Et bien sûr aucune brochure, aucun ouvrage actuellement disponible au musée, à l’office du tourisme ou dans la librairie spécialisée attenant à l’office du tourisme. Il y avait bien quelques plaques de tissu encadrées partout dans le musée mais rien non plus en guise d’explication.
J’ai fait quelques recherches sur le net sur l’histoire des indiennes et des indiennes provençales (ou tissus provençaux). Il y a également une émission très intéressante à podcaster sur France culture sur les indiennes. Donc vous allez voir une série de tenues sans véritable explication, avec une petite salle dédiée aux tenues provençales classiques, et ensuite une série de pièces plus récentes ou contemporaines, à la mise en scène plaisante et rafraichissante. J’ai tout particulièrement aimé le ballet des jupes provençales suspendues, ballotant au gré du vent.. La seule chose dont je peux un peu parler est l’importance des indiennes, notamment dans la région, qui a conduit aux tissus provençaux.
La Provence a été un lieu de passage et de transit des importations massives d’indiennes au XVIIe siècle et a, au fil des contraintes économiques et de l’histoire, développé son propre savoir-faire de fabrication des « toiles peintes » qui sont nos tissus provençaux.
Les développements historiques de l’importation et de la fabrication de ces tissus ne sont pas sans rappeler l’impact de l’économie mondiale actuelle sur la qualité des tissus, comme quoi l’histoire se répète. Il faut également se méfier de l’origine douteuse de certains tissus provençaux, généralement bon marché, présents sur la plupart des marchés provençaux. Il existe très peu de fabriques locales, Souleiado et Olivades sont les dernières et leurs produits restent assez onéreux.
Les indiennes, considérés généralement comme des tissus exotiques colorés en provenance d’Asie (dont l’Inde bien évidemment), sont des toiles de coton, dotées d’une armure pure et plane afin de faciliter l’impression de motifs colorés et d’assurer leur qualité. La qualité de l’impression se fait grâce à deux techniques: le mordançage qui est la technique de fixation des couleurs (provenant de la garance pour le rouge et de l’indigo pour le bleu) et permet l’impression des couleurs au cœur de la fibre de coton, et la technique de réserve (proche du batik) qui permet d’éviter que certaines couleurs n’imprègnent tout le tissu.
La découverte des indiennes et autres tissus importés d’Inde comme la soie, la mousseline, est une révolution dans le monde du textile européen. En France, l’industrie du coton est pratiquement inexistante au profit de la soie, de la laine, du chanvre et du lin. Ces indiennes sont d’excellente qualité, les impressions sont colorées et vives et elles sont faciles d’entretien, faciles à laver. L’importation et la consommation des indiennes est massive au XVIIe siècle.
Au milieu du XVIIe siècle du fait de la pénurie d’indiennes et de leur lourde taxation, le développement des indiennes locales se développe à Marseille grâce aux connaissances des cartiers qui sont des fabricants de cartes à jouer, et des graveurs sur bois.
La production française reste médiocre, axée sur la rentabilité plutôt que sur la qualité. Les tissus ne sont pas d’assez bonne qualité pour que les impressions durent dans le temps. Cette production est destinée aux gens de condition modeste qui ne peuvent acquérir les véritables indiennes importées.
Marseille bénéficie alors d’un statut de zone et port francs, exempté de fiscalité. La ville a recours à des artisans arméniens qui ont appris des Indiens les techniques de préparation des tissus et d’application des teintures. Ceci va permettre d’améliorer la production et la qualité des indiennes locales.
Cette déferlante dans l’importation des indiennes va entrainer une polémique en Europe et en France entre les tenants de la prohibition et ceux de la liberté du commerce. Ceci s’explique par plusieurs facteurs. Avec le succès des indiennes importées, les manufactures françaises de soie et de lin déclinent. Les techniques de fabrication des indiennes ne sont pas maitrisées en France donc les manufactures françaises ne peuvent rivaliser avec les produits importés.
En outre la qualité des tissus indiens est largement supérieure et le coût de l’importation inférieur aux produits nationaux. Tout cela entraine une concurrence « déloyale » qui va aboutir à une prohibition de l’importation mais aussi de la fabrication sur place et de l’usage des indiennes en France en 1686. Bon nombre de pays européens interdiront également le commerce et la fabrication des indiennes.
En 1703, la ville de Marseille est néanmoins autorisée à nouveau user, fabriquer et commercialiser des indiennes. La prohibition des indiennes (importée ou manufacturée sur place) ne sera levée qu’en 1759 sur tout le territoire. Avec la fin de la prohibition, des fabriques de « toiles peintes » vont proliférer sur tout le territoire de la France, avec une nette prédominance du marché provençal, mais elles vont disparaître rapidement du fait du manque de manque de matières première, de main d’œuvre qualifiée et d’argent.
L’origine de Souleiado est la manufacture d’indiennes Jourdan, créée en 1806. Elle est la dernière manufacture à Tarascon au début du XXe siècle. Charles-Henri Demery va lui redonner vie en 1916.
La marque Souleiado est créée en 1939 et s’accompagne d’une ligne de vêtements et d’accessoires dont des sacs, qui permet de moderniser et mettre au goût du jour les indiennes provençales. On s’éloigne ainsi des tenues traditionnelles et du cliché des nappes à grandes fleurs. Les premières boutiques vont s’ouvrir et connaître leur apogée jusqu’en 1986. Souleiado devient ainsi une marque de luxe. Elle est rachetée en 2009 et compte désormais une vingtaine de boutiques grâce à son patrimoine d’archives de tissus et de dessins.
En face du musée, un grand magasin d’usine Souleiado présente sa collection de vêtements, quelques rouleaux de tissus et une grand nombres de pièces provenant de la Ciergerie des Prémontés.
La visite s’est achevée sur le château de Tarascon, passage obligé. Une petite vue de l’extérieur de cette forteresse particulièrement bien conservée.
J’espère que ce ballet de couleurs, de ciel bleu et d’ensolleillade vous aura plu autant qu’à moi..
Edito du 22 juillet:
Des vues intérieures du château spécialement pour Céline (Happy family). Cette fois ci je n’ai pas eu le temps de visiter l’intérieur du château mais je l’avais visité il y a quelques années. J’ai retrouvé quelques photos d’archives. J’ai également acheté un bouquin récent qui montre que la salle des festins est désormais ornée d’un splendide tapis dessiné par Christian Lacroix. C’est superbe..
Nous avons fêté en famille les 4 ans d’Augustine le mois dernier. J’ai pris un peu de retard pour vous raconter ce que j’ai concocté à cette occasion. Alors, vite, vite, je vous montre cela avant ses 5 ans ! Oui, je sais, le temps file à une vitesse!
Les 4 ans d’Augustine – la robe à carreaux BCBG
Je vous ai promis de la couture et de la pâtisserie, eh bien vous avez déjà vu le gâteau (hum, hum), il vous reste à découvrir la couture.
J’ai craqué depuis un bout de temps pour une petite robe à carreaux très bon chic bon genre dans le Burda de janvier 2021.
Tout au fond du stock, il me restait un coupon assez important de tissu à carreaux façon lainage. Je l’avais acheté il y a plusieurs années sur Etsy pour coudre une grande étole (clic) comme cadeau de Noël pour la nounou d’Augustine. Ce n’est pas de la laine. Je pense qu’il y a de la viscose, car c’est un tissu très doux. Mais, en tout cas, c’était idéal pour coudre cette robe à Augustine. Et du coup, d’une certaine façon, entre la nounou et la princesse, la boucle est bouclée.
Stop au bavardage, passons aux choses sérieuses.
Les carreaux et les raccords
Marie et moi avons passé deux heures à poser les différents éléments du patron sur le grand coupon à carreaux pour assurer des raccords corrects. Quand il a fallu repérer la répétition du motifs à carreaux, j’ai eu l’impression de me retrouver devant une flopée d’équations à double inconnue. Mais Marie a démêlé tout cela de main de maître.
Malheureusement, il y a quand même eu un couac pour les raccords de la jupe au dos. Je ne comprends pas ce que j’ai raté à ce niveau. Je vous le montre rapidement ici, pour pouvoir ensuite passer aux éléments mieux réussis.
Bon, je ne suis pas 100% satisfaite de la pose de la fermeture à glissière, mais disons que ça passe…
Les autres finitions
Les têtes de manches sont froncées, dont beaucoup d’embu à résorber. Deux petits fils de fronce ont permis d’en venir à bout.
J’ai doublé le haut de la robe avec un voile de coton bleu très pâle, pour plus de confort. Mais voilà, j’ai oublié de prendre une photo.
Ensuite, le modèle Burda prévoit deux demi ceintures posées de part et d’autre de la robe et ornées de petits boutons. Marie m’a trouvé dans son immense stock de boutons anciens, des petits boutons dorés suffisamment plats pour être confortables. En effet, il faut penser au fait que deux des boutons sont dans le dos et que la princesse au petit pois, si elle s’assied ou se couche, pourrait être gênée par des boutons à tige.
La vue d’ensemble
Avant de vous montrer la vue d’ensemble, laissez-moi vous raconter que Augustine n’a pas été vraiment ravie en déballant son cadeau. Elle voulait une robe à fleurs ! Eh oui, on ne peut pas toujours gagner. Mais rassurez-vous, entre temps elle l’a adoptée, d’autant plus que les boutons brillent et que la jupe tourne!
Les 4 ans d’Augustine – la cape de super héroïne
Outre la robe à carreaux, j’ai pensé à une autre surprise pour Miss Augustine. Cela fait longtemps qu’elle essaye de se déguiser en super héroïne. Etant une adepte de Patpatrouilles et de Pyjamasques, cela se comprend. D’habitude c’est une grande serviette éponge qui fait le job, mais j’ai trouvé mieux.
Il y a plusieurs années, Nathalie m’avait donné un grand drap en satin synthétique bleu ciel, qui lui venait de sa maman. Il était caché dans un étui en plastique glissé sous un lit, avec un paquet d’autres chutes et coupons un peu improbables. Eh bien, c’était exactement ce qu’il me fallait pour concrétiser le souhait d’Augustine. Il me restait également un morceau de cotonnade rose fuchsia, parfait pour la doublure et de la feutrine jaune qui a servi à faire le A de Super Augustine.
Inutile de vous dire que le patron a été fait maison, en m’inspirant de certaines cousettes vues sur Pinterest et plus particulièrement de celle-ci (clic).
Et voici un projet simple et efficace, qui a fait grand plaisir à Augustine.
Les 4 ans d’Augustine – le gâteau licorne… Frankenstein
Si vous avez tenu le coup jusqu’ici, voici votre récompense : un compte-rendu de mes prouesses en pâtisserie !
La Super Héroïne m’avait commandé un gâteau licorne. Après le gâteau chat et le gâteau lapin (clic, clic), on passait au niveau au-dessus. J’ai acheté les fournitures nécessaires chez Cerf Dellier et j’ai comme d’habitude cherché l’inspiration sur Pinterest (voici le tableau).
Pour réaliser le gâteau, j’ai testé la recette du Molly Cake (ici) et de la ganache montée à la framboise (ici). Les deux recettes ont bien réussi et étaient délicieuses. Je me suis donc lancée.
Les mésaventures
Pour ne pas prolonger inutilement cet article, je vous la fais courte. Enfin presque…
D’abord, j’ai lu quelque part que pour couper plus facilement les différentes couches du gâteau, il fallait le congeler. Ce que j’ai fait. Quelle mauvaise idée ! Evidemment, impossible de le couper et donc, après avoir bien saccagé les bords de mon gâteau, j’ai finalement dû attendre qu’il décongèle.
Ensuite, contrairement à la première fois, ma ganache montée est restée beaucoup trop liquide. Par conséquent quand j’ai monté mon gâteau, la ganache a suinté sur les bords et les différentes couches ont glissé. Un gâteau toboggan ! Pour récupérer ça, j’ai fixé les trois couches en y piquant des piques à brochettes en bois et j’ai remis au réfrigérateur.
Bon. Une fois bien refroidie, la ganache s’est stabilisée. Il me restait à poser la pâte à sucre. Au magasin, ils m’ont conseillé de prendre de la pâte à sucre déjà déroulée et j’ai pensé que c’était une bonne idée. Mais je n’ai pas réfléchi au fait que mon cercle de pâte à sucre ferait des vagues, une fois posé sur mon Molly Cake très haut et plus étroit. Quelle galère ! J’ai fini par couper les « vagues » et du coup je me suis retrouvée avec des balafres verticales tout autour du gâteau.
Là, j’ai bien failli jouer le gâteau Frankenstein à fond et poser de faux points de suture. Mais non… les enfants n’auraient pas compris.
Pour terminer, comme ma ganache n’était pas assez ferme, je n’ai pas pu faire de décorations à la poche à douille. Heureusement que j’avais acheté quelques fleurs en pâte à hosties. Je vous remets la photo du produit fini.
Pour conclure, le gâteau a remporté un franc succès et il était très bon.
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