L’année du Sac – Nouvel horoscope chinois ?

L’année du Sac – Nouvel horoscope chinois ?

L’année du Sac, ce n’est pas un nouveau signe de l’horoscope chinois, mais simplement un article « à vrac » comme le conçoivent certaines bloggeuses qui se reconnaîtront, pour vous présenter en une fois les différents sac, tote bags et autres pochons concoctés par cette Serial Piqueuse. L’exercice a commencé avec la découverte du fameux tuto de Télito (lien ici), dont je vous ai déjà parlé et qui permet de réaliser un tote bag réversible et pliable. Quand je l’ai découvert, j’ai su qu’il avait un potentiel certain pour coudre en deux temps trois mouvements des petits cadeaux utiles et agréables.

Le projet test s’étant bien déroulé (voir ici), les commandes de cadeaux de Noël et les projets pour les anniversaires de toutes ces petites Scorpionnettes (ce signe-là je ne l’ai pas inventé) n’ont pas tardé à suivre.

J’avoue que je me suis bien amusée, à la fois en sélectionnant des chutes de mon stock et – j’ose à peine l’avouer – en allant en choisir de nouveaux chez Mondial Tissus, puis en réfléchissant aux décorations et aux boutons à utiliser (de mon stock ceux-là – faut pas exagérer !) pour customiser le tout.

Voilà quelques photos de ce modèle « à toute épreuve ». A force de reproduire ce tote bag, je n’ai plus besoin de vérifier le tuto, mais ça ne m’a pas empêchée de vriller l’une des anses et de devoir découdre une partie de la surpiqûre et de la couture en haut du sac pour corriger ça. Comme quoi, quand on veut aller trop vite…

Tout d’abord le tote bag cadeau de Noël pour la Nounou d’Augustine (commande spécifique de la Maman), taillé dans une toile de coton fleurie et décoré avec une dentelle blanche. La doublure est beige à pois blancs mais j’ai oublié de faire une photo.

Puis les deux sacs pour nos collègues qui ont fêté tout récemment deux anniversaires tout ronds – l’un la moitié de l’autre… mais je ne donnerai pas davantage de précisions.

Le premier pour C., ma voisine du bureau d’en face, avec qui je partage bien des rigolades. Celui-ci je l’ai customisé en insérant un passepoil lurex un peu rosé tout en haut du sac.

Le deuxième pour notre Némo, qui m’a si bien aidée ces dernières semaines (et avec qui je partage aussi des rigolades).

En fait, vous l’aurez compris, ici au bureau, on rigole aussi souvent que nous le pouvons. Nos deux birthday girls ont été gâtées (les tote bags n’étaient qu’accessoires) et shootées de toute part. Elles nous ont fait un défilé magnifaïque, façon Reines du Shopping.

Voili voilou. D’autres sacs sont encore en préparation pour Noël et peut-être même un petit tuto (enfin, à condition que le premier test soit réussi) d’un modèle copié sur un sac rapporté de notre beau voyage au Sri Lanka.

Un petit aperçu pour vous mettre en appétit.

L’année du Sac n’est pas encore terminée.

Je vous embrasse.

Fanfreluche

 

Petits cadeaux improvisés pour anniversaires en cascade

Petits cadeaux improvisés pour anniversaires en cascade

Des anniversaires en cascade et un seul créneau à l’heure du déjeuner pour fêter tout cela, les Serial Piqueuses ont dû gérer un problème de timing et d’opportunité.  Dans le même esprit, cet article vous présentera donc en rafale les petits cadeaux improvisés, bricolés jusqu’au bout de la nuit, pour faire plaisir à des collègues qui partagent notre quotidien professionnel depuis des années et sont devenues des amies.

Vous avez déjà découvert ici le projet majeur, réalisé par ma consœur Falbala, mais comme dans l’intervalle les Serial Piqueuses commencent à être connues pour leurs projets « fait main » (whoua le boulard Ouaih je confirme!), elles se sont mis la pression pour ne pas décevoir d’éventuelles attentes des autres Birthday Girls.

Etole en batiste kaki et grise

Voici donc, tout d’abord pour notre amie U., qui a été gâtée avec les produits achetés chez « Elle tricote » à Strasbourg: deux kits de tricot, l’un pour réaliser une écharpe sophistiquée très vaporeuse dans un fil ultrafin

et l’autre (bricolé par les Serial Piqueuses elles-mêmes) pour tricoter un col simplicime dans une laine fantaisie et changeante.

Comme ce sont des cadeaux un peu contraignants, dans la mesure où ils appellent un effort de sa part, il fallait bien « faire passer la pilule ». J’ai donc réalisé pour elle cette étole minimaliste mais finalement assez efficace compte tenu de la beauté de la fine et douce batiste de coton et soie que j’ai utilisée. C’était un reste de « précieux » déniché il y a au moins deux ans au Salon Mode et Tissus de Sainte Marie aux Mines. Elle est ornée aux deux extrémités d’une dentelle de coton blanc cassé qui rehausse le vert kaki et le gris de l’étole. Je ne me souviens plus où je l’ai achetée, ni à quoi il était initialement destinée. Sans doute à des petits cadeaux improvisés (hehe).

Et une photo en situation

Tote bag pliable

Puis, pour notre amie C., « qui ne voulait rien », un tote bag pliable et réversible, un peu kitschy, réalisé sur la base d’un tutoriel vidéo très explicite, publié par Télito sur sa chaîne You Tube. Là aussi, c’est un projet facile qui, de plus, offre plein de possibilités de personnalisation. Je me suis éclatée en partant en chasse aux tissus, galons et boutons assortis dans mon stock insondable de Serial Piqueuse.

La belle cotonnade bleue aux motifs cachemire appelait littéralement, sur sa face endroit, l’ajout de ce petit bout de galon doré tout droit venu des Indes. Et quand ça brille déjà comme ça, il ne faut pas hésiter à en rajouter. C’est donc un bouton vintage orné de strass qui a complété le décor.

La doublure est un coton japonais acheté dans la boutique Tognissi à Strasbourg. Le tissu bleu vient des trésors laissés par la maman de Falbala (c’était Coco pour les intimes), c’était donc un tissu prédestiné pour NOTRE Coco.

On plie le sac en trois dans la longueur, puis en trois dans la largeur et voilà la petite pochette mignonne.

Et les cadeaux de Coco

Etole bonbon

Le dernier cadeau improvisé, réalisé pour que C. ne se sente pas lésée (mais non, je rigooole) et surtout parce que Falbala était en pleine réflexion créative, est une splendide étole « bonbon », imaginée, conçue et réalisée par Falbala. Le dessin de cette étole, composée d’un long rectangle étroit et de grands volants placés aux deux extrémités, rappelle en effet – un peu de loin, je le concède – celui d’un super bonbon coloré.

A l’origine du projet, un coupon de voile de coton très large, mais pas suffisamment long pour confectionner, dans le droit fil, une étole de la bonne dimension. Au cours d’un « brain storming » couturesque, Falbala a soumis son idée créative : pourquoi ne pas rallonger l’étole en ajoutant de larges volants réalisés dans le reste du coupon. Projet validé et baptisé: l’étole bonbon était née. Le brevet a été déposé.

Pour le tuto de l’étole et les photos, je laisse la main à Falbala.

Comme l’a dit ma Fanfreluche, le coupon destiné à cette étole était trop court, 1,55 m x 1,40 m. Je ne sais absolument plus où j’ai dégoté ce voile de coton magnifique, je suspecte que c’est du « Fleur de tissus » mais sans garantie… J’avais commencé par faire quelque chose de très simple (pour une fois c’est un plan simple qui devient compliqué!) un rectangle de 1,55  sur 70 avec un roulotté tout autour mais l’étole était trop courte et trop large. Pour la rallonger j’avais pensé rajouter sur une des extrémités un morceau raccordé par un entre-deux, pour garder un côté un peu asymétrique mais finalement l’idée du bonbon, avec deux panneaux plus larges raccordés à chaque extrémité a été retenue. Voilà le schéma (artisanal) de la chose:

J’ai donc plié en deux l’étole dans le sens de la largeur et j’ai fermé le tube en laissant les deux extrémités ouvertes (petits cotés D sur le schéma). J’ai ensuite coupé deux morceaux de 68 cm x55 cm que j’ai repliés (34 cm x 55 cm), j’ai cousu les deux côtés (A et C sur le schéma). C’est là que tout devient délicat. Il faut d’abord coudre un fil de fronce sur les 55 cm et ensuite insérer chaque côté à l’intérieur du tube au niveau de D. J’ai fixé à la main de manière à bien faire coïncider les deux cotés du tube (vous me suivez ?). Une fois que tout est bien fixé, « yapluka » coudre un morceau de dentelle ou de galon sur la couture.. et voilà le résultat.

 

Voilà, j’espère que nous aurons fait plaisir à ces dames et on leur souhaite à toutes un très joyeux anniversaire!!

Fanfreluche et Falbala

Une Idylle ? Oui, mais pas pour moi

Une Idylle ? Oui, mais pas pour moi

Vous avez sûrement rencontré récemment, au gré de vos promenades virtuelles sur les blogs des couturières, différentes versions du top Idylle de l’Atelier Scämmit. Il faisait l’objet d’un concours et le patron de ce top était gratuit. Comme à l’accoutumée, la plupart des articles publiés étaient dithyrambiques, dans le style : j’ai coupé en 36 sans aucune modification et tout tombait à merveille. Bon j’avoue, les premiers exemples vus sur internet étaient convaincants dans l’ensemble.

Il n’en fallait pas plus à cette Serial Piqueuse pour se laisser tenter. J’ai donc téléchargé, scotché et découpé, puis, pour faire les choses bien, j’ai utilisé un coupon de coton du stock pour faire une toile. Et, comment vous dire ? Heureusement que je suis passée par cette étape, car il eût été dommage d’aller ainsi au « casse pipe » avec un de mes coupons précieux !

Alors, une Idylle oui, puisque c’est le concept du patron, mais plutôt un désamour pour moi. Je ne comptais pas le publier, mais à la réflexion, je trouve qu’il faut un certain degré de transparence et faire également des articles sur les projets en demi-teintes, voire ratés !

Débriefing

Le top Idylle est un modèle facile à coudre.

Il y a quelques points techniques :

  • le décolleté en V, mais sa finition est bien facilitée par la parementure parfaitement dessinée;
  • les plis à la tête de manche qui m’ont donné un peu de fil à retordre jusqu’à ce que je comprenne dans quel sens les placer; et, enfin,
  • la patte de boutonnage dans le dos que j’ai réalisée, mais que j’ai fermée (j’ai cousu les boutons, mais je n’ai pas réalisé de boutonnières, car la blouse est assez large et peut aisément s’enfiler ainsi).

Jusque là, que du positif.

Erreurs et retouches

Malheureusement, à l’essayage, j’ai tout de suite constaté que la forme droite de la blouse Idylle ne flattait absolument pas ma morphologie. De plus, la cotonnade utilisée, plutôt fine mais néanmoins assez raide, n’arrangeait pas les choses. Pourtant le patron comporte des pinces poitrine, je pensais donc que ça pourrait passer… Entre temps j’ai trouvé  un article de l’Atelier de Tarlaline qui démontre mon erreur. J’aurais dû utiliser un tissu plus fluide. Je vous invite à voir sa belle version de l’Idylle. Elle montre l’exemple et le contre-exemple.

Ceci dit, repassons à mon Idylle à moi. J’ai commencé par cintrer la taille une première fois, puis une deuxième… hum hum. C’était un peu mieux. Ensuite j’ai scruté le dos. Là aussi, l’image n’était pas réjouissante. Toujours cette ampleur et cette forme droite additionnée au tissu un peu raide : la blouse reposait sur mon illustre postérieur, il y avait des plis et un réel surcroît de tissu au niveau du creux du dos.

La seule solution à ce problème c’est d’ajouter des pinces dans le dos. J’aurais pourtant dû m’en souvenir, parce qu’en raison de ma cambrure et de mes fesses rebondies, il me faut toujours des pinces dans le dos. La Prof ès patronage appelle cela (euh… je crois) une retouche morphologique.

Idylle de Vamps

Une fois toutes ces modifications faites, cette Idylle correspond un peu mieux à mes besoins. Mais je ne parviens pas à m’enthousiasmer pour ce modèle, peut-être parce que le tissu me fait terriblement penser à une blouse/tablier dans le style de ce que portent les Vamps.

Et pourtant j’ai fait des efforts : j’ai cousu de petits boutons verts un peu pepsi, j’ai légèrement raccourci les manches et ajouté des revers décorés aussi d’un bouton vert. Rien n’y fait, dès que je l’enfile, je revois Gisèle et Lucienne.

Cette Idylle restera donc domestique et ne servira que le week-end pour traîner à la maison et sortir au jardin.

Atelier Scämmit, sans rancune.

Fanfreluche

 

 

 

 

 

 

 

Garde robe d’Augustine # 3 – Tunique et legging

Garde robe d’Augustine # 3 – Tunique et legging

La garde robe d’Augustine est toujours un très bon moyen de contrer la flemme et la morosité ambiante. Cette Serial Piqueuse commençait en effet à s’encroûter. Rien de tel que de se lancer dans un petit projet vite fait, bien (?) fait.

Un rapide plongeon dans les boîtes à tissu qui débordent dans l’atelier et en fut extrait un petit coupon de jersey acheté en mai dernier lors du Salon Nadelwelt. Fond turquoise et éléphants cyclistes! Vraiment un tissu comme Fanfreluche les aime: des couleurs douces (?) et des motifs discrets (humm). Pourtant la Maman d’Augustine a dit banco.

Le patron de la tunique était à l’origine un patron taille 3 mois (voir le tee shirt à pommes ici), qui a été agrandi un peu au jugé, à partir d’un body du commerce taille 18 mois  (j’espère qu’il ira à Augustine). Après vérification par SMS interposés, la longueur était vraiment trop juste, donc j’ai ajouté une bande de jersey à l’ourlet du bas et je trouve que l’effet n’est pas mal.

L’encolure est ouverte par une patte de boutonnage des deux côtés, pour que la petite tête (pas si petite que ça !) passe facilement et finie avec un bord côte turquoise et blanc parfaitement assorti. Même finition pour les poignets. Parenthèse : j’ai fait une véritable razzia de bord côte (principalement turquoise et gris – je ne sais pas ce qui m’a pris) lors du Marché des Hollandais en octobre, à Strasbourg. Il y aura donc bien d’autres projets sportswear pour cet hiver.

La tunique turquoise appelait tout de même une pièce plus soft pour calmer le jeu. J’ai donc utilisé un autre coupon, tiré du tsunami textile, pour confectionner un legging assorti. J’avais déjà utilisé un peu de ce jersey gris pour les manches du tee shirt à pommes dont je vous parlais plus haut. Le gris va aussi très bien avec le turquoise et fait un joli rappel des éléphants cyclistes. Là aussi le modèle est réalisé à partir d’un patron maison que j’ai agrandi à l’œil. Je me suis amusée à faire des coutures apparentes plaquées sur l’endroit, pour ajouter une touche de turquoise. Les finitions (ceinture et bas des jambes) ont été réalisées dans un autre bord côte trouvé chez les Hollandais.

Et voilà, maintenant il faut qu’Augustine essaye tout ça. Je croise les doigts…

Bonne fin de journée à toutes et tous.

Édito

Princesse Augustine dans ses nouveaux atours. Elle semble en apprécier le confort.

Fanfreluche

 

La robe puzzle ou la politique de l’autruche

La robe puzzle ou la politique de l’autruche

La robe puzzle est un projet coup de cœur qui avait vocation à être planifié efficacement et réalisé dans la foulée.

Je suis partie d’un splendide coupon de wax acheté à l’occasion de la Foire exposition de Strasbourg, en septembre dernier. Avec mon acolyte Falbala, nous adorons fouiner dans le hall de l’artisanat international et c’est sur le stand d’une sympathique vendeuse ivoirienne qui vendait des vêtements très colorés que nous avons déniché, dans un petit panier posé au sol, quelques coupons de wax de tout acabit. Nous avons toutes les deux craqué – même si, soit dit en passant, il nous reste encore du wax d’il y a deux ans. Incorrigibles les Serial Piqueuses !

J’ai décidé que ce coupon précisément ne finirait pas enterré dans mon stock, car j’avais LE patron qui conviendrait à ce joli tissu. C’est donc pétrie de bonnes intentions que j’ai décidé de reproduire le patron de la robe fourreau (déjà montrée ici), un patron Ottobre de 2015, testé et approuvé.

Je vous montre en avant-première le résultat bâti et fièrement porté par Fanfreluche.

L’étape du placement

Le patron d’origine présente des découpes princesse devant et dans le dos, il y a donc 6 pièces pour le devant et 8 pièces au dos ! Le motif du wax, avec de larges bandes multicolores et asymétriques (c’est-à-dire que les séquences de couleur ne se répètent pas), m’a inspiré un placement adapté à ma morphologie: une bande claire au milieu et deux bandes foncées de part et d’autre. Celles (et ceux) d’entre vous qui connaissent un peu l’exercice de placement des pièces comprendront que la gestion des raccords a été un défi de taille ! J’ai fait une première tentative toute seule et j’y ai passé deux bonnes heures. Au final, mon coupon de wax s’est trouvé couvert de pièces épinglées suivant une réflexion logique (du moins la mienne), façon puzzle.

Le vendredi suivant j’ai soumis mon puzzle à la Prof qui adore jouer à Tetris et elle y a mis de l’ordre. D’abord elle a réduit le nombre de pièces du patron pour faciliter les raccords : les découpes princesse du devant ont été remplacées par des pinces poitrine et des pinces à la taille (devant = 2 pièces coupées au pli) et la fermeture à glissière a été déplacée sur le côté (dos = 4 pièces). Ensuite, nous avons choisi la bande qui devait être au milieu devant et nous avons construit le placement tout autour. Cette fois-ci la réflexion logique était imparable. Falbala a fait des photos de l’exercice.

La politique de l’autruche

A  partir de là, tout devait bien fonctionner. Mais cette robe puzzle aurait pu finalement aussi s’appeler « la robe autruche », car j’ai voulu me cacher la tête dans le sable et occulter les kilos que j’ai pris depuis que j’ai réalisé la première robe à partir du patron Ottobre. J’ai tout de même des circonstances atténuantes, car la première robe me va toujours parfaitement. En revanche, celle-ci s’est avérée juste-juste au montage. Heureusement que j’avais prévu des marges de couture un peu généreuses, si bien que j’ai réussi à l’adapter en rognant un maximum sur les marges de couture latérales. Je vous laisse deviner la difficulté de monter la fermeture à glissière sur des marges de couture de 5-7 mm de large… hum hum c’était chaud. La fermeture a été fixée à l’aide d’une surpiqûre au point zig-zag, réalisée avec du « monofil » (fil plastique transparent qui se coud à la machine et se repasse également).

Et voilà, tout est bien qui finit bien. La robe fait de l’effet je trouve (Fanfreluche se la pète!) et j’adore les coloris du wax. Je pensais que ce serait plutôt un modèle pour l’été, mais quand je l’ai portée ces jours-ci (pour cause d’été indien), mes collègues ont décrété que c’étaient de jolies couleurs d’automne. Donc, elle a tout bon cette cousette, même si elle a finalement pris un peu plus de temps que prévu pour être achevée.

Et une petite série de photos en extérieur avec des gros plans sur… la fermeture à glissière, mais pas que… !

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Fanfreluche