Puisqu’on parle veste…

Puisqu’on parle veste…

Je vais donc ajouter mon grain de sel. La veste que je vais vous montrer a été cousue il y a quelques mois déjà. Elle devait s’accorder avec ma robe saharienne que je vous ai montrée ici. Finalement, il faisait si beau le jour J que je ne l’ai pas vraiment étrennée. En revanche, j’ai eu l’occasion de la mettre lors de notre visite à Troyes, où, malgré un grand soleil, il faisait bien frisquet ce matin-là.

Veste Burda style 10/2022

C’est ce modèle très simple et pourtant parfaitement travaillé, qui m’a attirée. Il ressemble beaucoup à la veste de Nathalie, mais nous avons fait notre choix individuellement. Pas de copiage ici.

Burda Style 10/2022 – Veste 113

Bien sûr nous avons toutes les deux choisi notre lainage dans le stock du Fil Amant. Il faut dire qu’il est difficile de résister quand, en allant vers notre salle de cours, on passe à côté de toutes les belles choses que Marie expose dans son magasin. Comment ça, c’est fait exprès !

Caractéristiques du modèle et réalisation

Malheureusement, je n’ai que peu de détails à vous donner sur la réalisation de ce projet. D’une part ça remonte à plusieurs mois déjà et d’autre part ce fut plutôt simple et sans péripéties. La veste comporte des pièces côté qui créent un effet découpes princesse dans le devant et le dos. Elle comporte également des empiècements devant qui cachent une légère pince poitrine : une forme idéale pour ma morphologie. Enfin, elle présente des bracelets de manches bien larges. Je n’ai apporté aucune modification et je l’ai entièrement doublée avec une doublure ancienne de chez Marie.

Par ailleurs, comme proposé dans le modèle, j’ai fait des surpiqûres pour souligner les empiècements et les bracelets de manche. Et, comme à l’habitude, j’ai craqué pour des boutons bijoux TELLEMENT beaux! Je trouve qu’ils donnent un petit look Chanel. Rien que ça !

Que dire de plus ?

Peut-être que cette veste en maille de laine moutarde a déjà été beaucoup portée. Elle est extrêmement confortable, car souple, légère et chaude. De plus, elle s’accorde avec un grand nombre des éléments de ma garde robe, dont certains tout nouveaux que je ne devrais pas tarder à vous montrer…

Voici encore quelques photos.

Teaser

A tout bientôt.

Fanfreluche

Pantalon orange pas pressé

Pantalon orange pas pressé

Pas pressé du tout de montrer le bout de son nez ici. Ce pantalon orange en lin était destiné à s’accorder avec ma tunique folklorique. Mais il a pris son temps. Puis il a fallu trouver un créneau photo et pour finir, un moment libre dans mon emploi du temps surbooké de presque retraitée pour rédiger ce petit article.

Pantalon orange – le projet

Le projet a vu le jour chez Toto Tissus à Rouen. Après avoir craqué pour la popeline folklorique de ma tunique, j’ai choisi ce lin rouille/orange assez lourd dans la perspective de coudre un pantalon assorti.

Le patron est une nouvelle fois tiré d’un Burda pas tout jeune. Si je ne m’abuse, c’est le même que celui de la robe saharienne.

Le plus difficile à trouver pour ce projet fut la fermeture à glissière. J’ai bien trouvé de l’orange, mais c’est là que j’ai eu confirmation que la couleur tirait vers le rouille. Ça pinaille, ça pinaille… Finalement c’est chez Toto par chez nous que j’ai trouvé mon bonheur et en plus dans le bac à promotion.

Que dire de la réalisation ?

La réalisation s’est plutôt bien passée. J’ai comme d’habitude repris le patron de la fourche ajustée à mes formes, ce qui me donne l’assurance d’un seyant parfait (enfin, le plus parfait possible).

Ce qui m’a plu sur le pantalon Burda c’est le petit revers de fausse poche appliqué sur le devant. J’aurais aimé y ajouter une vraie poche et j’ai d’ailleurs coupé ladite poche dans de la doublure, mais je n’ai pas réussi à trouver la solution pour la poser. Pour finir j’ai abandonné et le pantalon n’a donc pas de poche du tout. Tant pish !

En revanche, il a deux jolis boutons !

Lennon Wall

Au risque de vous lasser, Nathalie et moi avons aussi shooté le pantalon devant le Lennon Wall. Et comme promis, je vous propose ci-dessous quelques vues supplémentaires de ce mur coloré.

Et nous avons réitéré la photo aux étoiles.

Le prochain article, je change de couleur !

Bonne semaine à toutes et tous.

Fanfreluche

Jurassic Style pour Augustine

Jurassic Style pour Augustine

Help ! Augustine manque de pantalons qui ne vont pas aux fraises ! J’ai bien entendu cet appel au secours et j’ai dégainé un coupon de French Terry ou sweat d’été en mode jurassic style. Il était rangé dans mon stock depuis le marché des Hollandais de l’automne 2021. A cette époque-là, Augustine était fan de dinosaures. Je n’étais pas sûre qu’elle le soit encore, mais après tout, il faut bien commencer à écluser les stocks.

Jurassic Style ce sera

Vous avez déjà vu le patron que j’ai utilisé pour ce pantalon. Il s’agit d’un modèle Ottobre enfants 2016, que j’ai déjà cousu en jersey façon jean (voir cet article). Cette fois-ci, j’ai simplifié les choses : pas de poches devant et seulement une fausse braguette – celle-ci est remplacée par une ceinture élastiquée. En revanche, j’ai posé des poches plaquées au dos. J’avais cousu le précédent pantalon en largeur 110. Cette fois-ci, j’ai légèrement élargi, et surtout, j’ai ajouté toute la longueur nécessaire.

Je vous montre.

Un franc succès

Le pantalon jurassic style a remporté un franc succès, d’autant plus qu’Augustine et sa famille avaient planifié une visite de l’exposition temporaire dinosaures, actuellement montée au Palais des Congrès à Strasbourg. J’avais tapé dans le mille !

Au vu de l’enthousiasme et comme j’étais en mode « liquidons les chutes », j’ai proposé à Augustine de lui coudre une petite veste sans manches pour compléter la tenue.

Il me restait un petit bout de molleton beige (utilisé pour coudre les manches d’une veste matelassée – clic). Le coloris s’accordait bien avec le jersey dinosaure et en même temps il calmait un peu le jeu. Trop de dinosaures…

Jurassic Style – la veste

J’ai cherché longtemps le modèle adéquat, car je n’avais pas beaucoup de tissu et en même temps je ne voulais rien de trop chronophage. Après tout, la veste devait être terminée à temps pour ce week-end.

Finalement, mon choix s’est arrêté sur une petite veste matelassée sans manches proposée dans le magazine Burda Style d’octobre 2015.

Comme dit, le modèle était matelassé et aussi doublé. Il était intégralement gansé.

Je n’ai PAS matelassé et je n’ai PAS doublé. J’ai un tout petit peu gansé, à savoir aux emmanchures.

Pour le reste, j’ai rallongé le modèle de 3 cm, afin de pouvoir utiliser la seule fermeture séparable dont je disposais et qui mesurait 30 cm. Donc, pas besoin de la raccourcir, d’autant plus que c’était une fermeture métal et que je me voyais mal sortir l’attirail de la petite bricoleuse (que je ne suis pas d’ailleurs).

Quoi d’autre ? Eh bien, comme je n’ai pas doublé la veste, j’ai dessiné une parementure d’ourlet. En effet, vu l’épaisseur de mon molleton, il aurait été difficile de faire un ourlet arrondi propre en faisant un simple rempli. Et oui, j’ai aussi posé le col façon bomber, que j’ai coupé dans le tissu dinosaure. Le biais de finition des emmanchures est également en sweat dinosaure.

Photos

On ne m’arrête plus

Une fois lancée, je me suis dit faisons la tenue complète Jurassic Style. J’ai donc décidé de coudre aussi un tee-shirt assorti.

voici le modèle que j’ai choisi

Le choix du modèle et des tissus a été fait avec Augustine. C’est ainsi que j’ai taillé dans une grande chute de jersey kaki (voir ma robe portefeuille – clic), que je destinais à un tee-shirt pour moi (snif). Le devant et le dos sont donc kaki et les manches (raglans) ont été coupées dans le sweat dinosaure.

Désolée, je n’ai pas de photo du tee-shirt seul, mais j’ai plein de photos de la tenue Jurassic Style complète. D’abord à la maison (juste au cas où il y aurait une tache inopinée avant d’arriver à l’exposition), puis en situation avec les dinos.

C’est ainsi qu’au lieu de coudre deux ou trois pantalons – ce qui aurait été sans doute plus utile – j’ai cousu une tenue assortie qui a fait grand plaisir à Augustine. Je pense qu’elle sera beaucoup portée. La veste sans manches devrait aller avec d’autres tenues aussi. Et puisque le coupon kaki est bien entamé, sans doute que je pourrais le terminer en y taillant un legging.

C’est ça le sens du sacrifice de Moma Fanfreluche ! (rire)

Sur ce, je vous dis à très bientôt pour de nouvelles aventures.

Fanfreluche

Saharienne – La robe du dernier jour

Saharienne – La robe du dernier jour

Je vous présente aujourd’hui cette robe saharienne Burda, qui est devenue pour moi « la robe du dernier jour ». Je l’ai portée le 18 octobre 2022, dernier jour de ma vie professionnelle. Depuis le 19 octobre, je suis en congé avant cessation d’activité. Pour l’instant, je ne sais pas encore trop quoi en penser, mais je vais prendre les journées comme elles viennent et profiter de ma nouvelle liberté.

A l’origine, cette robe saharienne était avant tout destinée à être une robe de fête, à porter lors du baptême de notre petit Amaury. Pourtant j’ai saisi l’occasion de mon dernier jour de travail pour que Nathalie fasse des photos et ce fut un shooting spécial. Vous verrez.

La saharienne Burda

C’est en feuilletant la bibliothèque impressionnante de revues Burda de la mercerie du Fil amant que j’ai repéré ce modèle de robe saharienne.

Je la voyais bien en jean bleu classique, car j’avais acheté ce qu’il fallait chez les Coupons de Saint Pierre, lors de ma dernière virée à Paris, avec Monsieur. Du modèle d’origine j’aimais beaucoup les revers de manche en tissu contrasté. Marie avait un joli choix et j’ai retenu une fine cotonnade à fond blanc et délicats motifs fleuris.

La robe saharienne – les détails

Ce qui m’a particulièrement plu sur cette robe saharienne ce sont les parements verticaux surpiqués. Ils forment passant de ceinture sur les devants et le dos de la robe. Je trouve que les surpiqûres forment une jolie ligne qui allonge la silhouette.

La robe présente également des poches poitrine à rabat et des revers de manche retenus par des pattes.

Ah oui, j’oubliais, elle a également des poches prises dans les parements verticaux. Bref, plein de petits détails qui ont pris pas mal de temps.

Et pour finir, j’ai réalisé une ceinture dans les mêmes tissus.

Les surpiqûres

En réalité ce qui m’a bien fait galérer ce sont les surpiqûres. Je n’avais encore jamais utilisé de fil cordonnet. J’ai utilisé une aiguille pour surpiqûre et un fil coordonné « normal » dans la cannette.

Ma machine à coudre m’a fait des misères pour certaines surpiqûres, alors qu’à d’autres endroits tout allait bien. Le fil cordonnet formait des boucles sur l’envers de la couture et à certains moments les points étaient irréguliers. Par conséquent, j’ai dû défaire certaines sections et les refaire en essayant de bien reprendre la surpiqûre là où je l’avais arrêtée. Malheureusement, le résultat n’est pas nickel partout. Après débriefing avec Marie et Nathalie, il semble que la difficulté provienne des différences d’épaisseurs des coutures et peut-être de la tension du fil. Si jamais je retente l’expérience, je ferai des tests avant.

Forte de cette expérience, j’ai décidé de ne pas rajouter davantage de surpiqûres jaunes. Du coup, l’empiècement dos et devant a été surpiqué avec un fil bleu jean.

Voici aussi un aperçu du col.

Shooting photo très spécial

Il semble que parfois le hasard fasse bien les choses. En effet, il se trouve que le jour même de mon « dernier jour », l’un des Etats membres du Conseil de l’Europe ait décidé de monter devant le bâtiment une reproduction gonflable du mur Lennon ou « Lennon Wall » qui se trouve à Prague en République tchèque.

Inutile de vous dire que Nathalie et moi en avons bien profité. Je vous laisse découvrir cela en photo.

Alors, sur ces photos, vous n’en voyez qu’un petit bout. Nous avons fait d’autres photos que vous verrez dans un prochain article.

Ce magnifique Lennon Wall tombait à pic et nous a permis de faire de belles photos souvenir.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. J’espère que cet article vous aura plu, tout comme notre délire photographique.

A bientôt et grosses bises.

Fanfreluche

PS. J’ai effectivement porté cette robe saharienne lors du baptême de notre petit fils. Et, comme d’habitude, je n’ai pas de photos ! Trop la loose !

Pour le dimanche – Robe chemise Burda

Pour le dimanche – Robe chemise Burda

Notre petite Mathilda a été baptisée le dernier dimanche du mois d’août. Pour l’occasion, il me fallait une nouvelle robe. Idem pour la baptisée et pour sa grande sœur. Si vous le permettez, je vais commencer par la mienne, une robe chemise Burda un peu remodelée à ma façon.

Ma robe chemise Burda

J’ai eu un vrai coup de cœur pour cette robe chemise dans le magazine Burda 5/2022 et j’avais déjà retenu le tissu idéal pour la réaliser.

Quel tissu utiliser ?

Une fois de plus, je vais vous bassiner avec mes trouvailles chez Toto Tissu à Rouen, où j’ai craqué pour 3 m de cotonnade à carreaux. Je lui trouve un petit côté vintage. J’adore la combinaison de rouge, d’orange et de brun qui se fondent en dégradé. Bref, deuxième coup de cœur.

Je vous montre. La photo ne rend pas vraiment justice au tissu qui est bien plus lumineux en réalité.

Tout ça pour vous dire que ma robe chemise finalement, je ne l’ai pas cousue dans ce tissu-là.

Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce que la date du baptême approchait rapidement, que j’avais décidé d’ajuster le patron à ma morphologie (et je ne suis jamais bien sûre du résultat de ce genre de manipulations) et qu’enfin, le tissu à carreaux allait clairement me poser quelques défis de raccords.

Alors, j’ai décidé de tailler dans un coupon à grands feuillages, que j’ai envie de qualifier de « popeline de viscose ». En effet, au visuel on dirait de la popeline de coton, mais au touché, elle est plus « craquante » que du coton. Je l’ai acheté, en même temps qu’un autre coupon de même composition (rose celui-là – voir ci-dessous), à Montmartre, chez les « Gentlemen du tissu » – enfin, je crois que c’était ce magasin-là.

le coupon rose
et le coupon « feuillage » que j’ai utilisé

En tout cas rassurez-vous, le tour des carreaux viendra un de ces jours.

Les ajustements du patron

Depuis ces dernières années, clairement ma morphologie est de plus en plus en H – avant de passer en O si ça continue ! Chère mésopotamie (alias « ménopause » pour renseigner les plus jeunettes d’entre vous), merci pour ce cadeau ! Bon, les bonbons, les glaces et les chips ont leur part de responsabilité aussi ! Par conséquent, je suis toujours obligée d’ajouter davantage d’aisance à la taille pour les patrons un peu cintrés.

Le patron de la robe chemise m’a bien facilité cette tâche, étant donné que la jupe est plissée et froncée. Je disposais donc de la latitude nécessaire pour élargir le buste sans faire de modifications compliquées pour la jupe. Pour finir, j’ai ainsi ajouté environ cinq centimètres au tour de taille du haut de la robe.

Ensuite, pour la jupe, j’ai complètement renoncé aux fronces et plutôt élargi un peu les plis. Et ça tombait nickel ! TROP contente !

Les pinces

A l’essayage, j’ai noté deux choses : premièrement qu’il allait falloir rallonger la pince poitrine pour mieux l’ajuster à mes courbes et deuxièmement que l’emmanchure baillait. C’est un problème que j’ai de plus en plus souvent, en particulier sur les robes sans manches. J’ai donc posé une petite pince d’environ 2 cm de large pour corriger cela. C’est assez discret et ça fait le job.

détail de la pince d’emmanchure

Et sinon, rien d’autre

Donc, comme le titre l’indique, je n’ai fait aucune autre modification. Pourtant, j’aurais bien dû y ajouter des poches. Mais soudain la jupe fut cousue et j’avais zappé les poches. Je pourrai toujours les ajouter plus tard si cela s’avère nécessaire.

Voilà. J’ai bien réussi ma patte de boutonnage et mes surpiqûres, ainsi que mes boutonnières. C’est assez rare que cela se passe aussi bien, donc ça vaut la peine de le souligner. Et vous avez vu les jolis boutons chinés par les soins de Marie (mercerie Le Fil Amant) ? Ils sont en verre et délicatement rehaussés d’une ligne dorée.

Après, je me suis un peu battue pour poser le pied de col car, comme pour mon chemisier en popeline blanche, il y avait pas mal d’embu à résorber. Pour pallier cette difficulté, j’ai passé l’encolure copieusement à la vapeur du fer à repasser et cela a suffisamment élargi l’encolure pour l’adapter au pied de col. Clairement, c’est un truc à retenir.

La robe chemise terminée

Et voilà le résultat final. J’en suis vraiment très contente. Cette robe peut être portée avec ou sans ceinture.

Avec Nathalie, nous avons fait des photos – photos que je n’ai pas faites lors du baptême. Trop bête !

Les robes des princesses

Voici également un rapide aperçu des robes des deux sœurettes. Là aussi, pas de photos en situation au baptême. C’est la loose !

Robe à godets pour Augustine

Pour Augustine j’ai choisi de coudre cette robe à godets, tirée du magazine Burda 2/2007. En réalité je n’ai repris que la jupe et j’ai cousu un buste sans manches tout simple, à la place du haut proposé par le patron.

C’est Augustine elle-même qui a choisi les tissus à la mercerie du Fil Amant. La robe a été plutôt facile à réaliser, bien qu’entièrement doublée, mais je peux vous dire que cela prend du temps d’incruster huit godets, puis de coudre un petit ourlet mouchoir sur un ourlet aussi long.

La demoiselle était fière de sa robe qui tourne, tourne…

Et pour Mathilda

En fait, je n’ai pas cousu de robe pour Mathilda. Elle a porté la robe que j’avais cousue pour Augustine à l’occasion du mariage de notre fils (à voir ici). A ce moment-là, j’avais posé une ceinture en satin rouge pour la coordonner avec le coussin porte alliance, aussi réalisé par mes soins.

J’ai donc décousu la ceinture d’origine et je l’ai remplacée par une ceinture réalisée dans la même cotonnade que les godets de la robe d’Augustine.

Du coup, la robe était tout à fait transformée. Mathilda adore sa robe.

Nous avons passé une magnifique journée de fête et Mathilda a réellement compris que c’était en son honneur.

Je vous embrasse et vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures.

Fanfreluche